1. Raoul


    Datte: 23/03/2021, Catégories: ffh, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, fsodo, Humour sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... si elles ont le temps de venir décrocher le téléphone, c’est que tu dois pas t’occuper d’elles comme il faut…
    — Pffff !
    
    Un long hurlement résonna dans tout le salon ; Juliette était effectivement retournée s’occuper d’Éloïse. Je m’éloignai avec le téléphone en regardant mon sexe ramollissant.
    
    — Il te reste pas une place ?
    — Bon, t’appelais pour quoi, Raoul ? Quand même pas pour me parler de mes plans cul ?
    — Eh ben si, justement !
    — … ?
    — T’as tout à fait raison de te taper des belles nanas, mon Gufti ! Et si j’étais à ta place, j’en ferais sans doute tout autant !
    — Mais ?
    — Mais pas dans la rue !
    — Quoi, pas dans la rue ?
    — Ça se fait pas de baiser dans la rue, devant tout le monde !
    — Tu m’as vu baiser dans la rue ???
    — Oui.
    — Aujourd’hui ?
    — Oui, cet après-midi.
    
    Mais ils s’étaient tous donné le mot ou quoi !
    
    — T’as picolé, Raoul ?
    — Rien encore, mais si tu veux m’inviter boire un coup, ce sera avec j…
    — Ou alors, c’est ma mère qui t’a dit de m’appeler ?
    — Hein ? Qu’est-ce que ta mère vient foutre là-dedans ?
    — Elle m’a appelé y a une demi-heure pour me dire les mêmes conneries que toi !
    — Bah elle a raison ! Franchement c’est naze de baiser dans la rue devant tout le monde ! Surtout à trois !!!
    — Oh, merde !
    
    Je raccrochai au nez de l’obstiné Raoul, puis reposai le téléphone en essayant de réfléchir. Je retournai dans le salon et eus un nouveau haut-le-cœur en me voyant agenouillé derrière Éloïse, la maintenant par les hanches et lui ...
    ... assénant de grands coups de bassin. Juliette avait adopté une fois de plus ma propre apparence pour satisfaire les désirs de sa collègue. Je les observai un instant, mais j’avais vraiment du mal.
    
    — Euh, Juliette, franchement je préférerais que…
    — Oh, Gufti, m’interrompit Éloïse, regardez !
    
    Elle leva péniblement une main en direction de la télé muette, qui nous offrait le doux et charmant spectacle d’une farouche double pénétration.
    
    — Nous allons essayer ceci, compléta-t-elle calmement.
    
    Je dus rester un instant pantois, car Juliette insista :
    
    — Alors, vous venez, Gufti ?
    
    Je soupirai longuement en soutenant leurs regards à la fois innocents et facétieux, puis, me reprenant, m’avançai vers Éloïse, le sexe à la main.
    
    * * * * *
    
    — J’ai beaucoup aimé, Gufti !
    
    Éloïse, fraîchement reformée, me gratifia d’un tendre baiser. J’étais allongé sur le canapé, éreinté et couvert du sperme qui était tombé entre les éclairs et les particules quand elle s’était désintégrée. Je m’étirai. Elle se redressa et s’extirpa d’entre mon corps et celui de mon clone. Mais je fis soudain face au sexe toujours tendu de Gufti-Juliette qui venait pourtant de jouir aussi, mais semblait prêt pour un nouveau tour et paraissait vouloir que je le suce.
    
    — Ah non merci ! fis-je en me relevant vivement. Débrouillez-vous entre vous !
    
    Je m’essuyai vaguement le corps et me servis ensuite un immense whisky.
    
    — J’aime déjà pas me voir dans la glace et vous voudriez que je suce mon clone… ...
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