1. Raoul


    Datte: 23/03/2021, Catégories: ffh, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, fsodo, Humour sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... avait fait des merveilles et elle avait rapidement atteint une sorte de transe qui ne s’acheva que dans une nouvelle explosion de particules.
    
    Et maintenant, c’était le tour d’Éloïse, qui avait absolument voulu "essayer ça", et qui beuglait sous mes coups de boutoir. Et j’avais sous les yeux le corps somptueux de Juliette qui s’était assise juste devant sa camarade et caressait doucement les seins de cette dernière en me regardant avec malice.
    
    Et le téléphone sonna à nouveau. Juliette me demanda entre deux ahanements d’Éloïse :
    
    — C’est encore votre mère ?
    — J’sais pas et je m’en fous, parviens-je à répondre. Qui que ce soit, ils rappelleront !
    
    Cela s’arrêta après une bonne dizaine de sonneries pénibles et je pus me concentrer à nouveau pleinement sur ce que j’étais en train de faire. Mais le pauvre malheureux qui voulait me parler insista lourdement et une nouvelle série de sonneries commença. Je reportai toute mon attention sur les fesses d’Éloïse qui ondulaient devant moi.
    
    Mais Juliette s’extirpa d’entre les bras de son amie et se releva ; je ne compris que trop tard que c’était pour aller répondre au téléphone et malgré un cri protestataire que je lui adressai (et qu’elle dut prendre pour un gémissement de plaisir), elle s’empara du combiné. Sans doute par mimétisme, m’ayant observé précédemment, elle sut décrocher et regarda longuement le téléphone avant de le porter à son oreille.
    
    Si Éloïse continuait vaguement de se déhancher et d’osciller du bassin ...
    ... devant moi en couinant, pour ma part, je ne bougeais plus d’un pouce, observant avec appréhension.
    
    — Non, je ne suis pas Gufti, fit doucement Juliette.
    
    Il y eut un court silence, puis elle reprit :
    
    — Je m’appelle Juliette, je suis sa femme.
    — Donne-moi ce téléphone ! intervins-je, sans toutefois encore vraiment bouger.
    
    Mais elle ne fit pas attention à moi et poursuivit tout naturellement :
    
    — Non il est en train d’enculer Éloïse.
    — Ooooh ! Merde ! Juliette, tu fais chier ! Donne-moi ce putain de téléphone !
    
    Je commençais à débander sérieusement, quand elle s’approcha enfin :
    
    — Il semble désirer que je lui rétrocède cet appareil ; je vais aller finir Éloïse à sa place ; au revoir !
    
    Avec une mimique forcée de colère silencieuse adressée à Juliette, je m’extirpai des fesses d’Éloïse, qui lâcha pour l’occasion une sorte de flatulence retentissante. Je levai les yeux au ciel en portant le combiné à mon oreille, espérant que ce ne fût pas une nouvelle fois ma mère :
    
    — Ça va ? Tu te fais pas chier ?
    
    C’était Raoul, un copain de longue date.
    
    — Salut, Raoul.
    — Alors, je te dérange, apparemment ?
    — Euh… franchement ?
    — Y en a qui s’emmerdent pas, quand même, hein ! Va falloir que tu me racontes tous tes petits plans à trois, mon cochon !
    — Ouais, ben, une autre fois, d’accord ?
    — Oh, t’as l’air de vouloir m’expédier, non ?
    — Si. T’appelais pour quoi ?
    — M’enfin, t’avais qu’à pas décrocher, Gufti !
    — C’est pas moi qu’ai décroché.
    — Eh, remarque, ...
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