1. Raoul


    Datte: 23/03/2021, Catégories: ffh, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, fsodo, Humour sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... t’ai vu cet après-midi dans le jardin de madame Legland !
    — Hein ??? Mais tu disjonctes ou quoi ? J’ai pas bougé de chez moi, j’ai juste été faire un tour en ville avec deux copines, mais c’est tout ! J’ai jamais foutu les pieds dans le jardin de la mère Legland !
    
    Juliette, ne comprenant toujours probablement pas la nature d’un téléphone finit par se radiner, toujours à poil, et m’apostropha :
    
    — Je ne comprends pas ce que vous dites, Gufti.
    
    Tandis que ma mère continuait de me brailler dans l’oreille, je posai une main sur le micro du téléphone et expliquai lentement à Juliette :
    
    — Je suis au téléphone avec ma mère ; grâce à cet appareil, nous pouvons nous parler alors qu’elle est loin d’ici.
    — … et en plus, poursuivait ma mère, tu aurais pu venir me dire bonjour, quand même !
    — Mais m’man…
    — Existe-t-il un appareil qui permette d’avoir des orgasmes à distance ? demanda habilement Juliette, à quinze centimètres du téléphone.
    
    J’entendis ma mère hurler et tentai immédiatement de faire diversion :
    
    — Je ne t’entends plus très bien, m’man, on dirait que ça va couper ; je te rappelle demain !
    
    Et je raccrochai en regardant froidement Juliette, qui souriait bêtement en attendant ma réponse. Je lui conseillai de retourner regarder son film pour ne surtout rien rater de l’intrigue principale, puis je terminai de préparer deux ou trois petits gâteaux, un peu de jus de fruits et un peu de whisky, tout en me questionnant sur l’état de santé de ma mère. Concluant ma ...
    ... réflexion en supposant qu’elle avait dû boire des canons avec la mère Legland, je rejoignis bientôt mes deux compagnes devant la télé.
    
    Éloïse se masturbait avec enthousiasme, apparemment excitée et absorbée par le film, tandis que Juliette attendit à peine que je me fus assis pour me sauter littéralement dessus. Agenouillée nue par-dessus mes cuisses, elle m’embrassa longuement en essayant avec plus ou moins de dextérité de me dévêtir de ma chemise. Elle se redressa ensuite et se caressa les seins en dardant dans les miens ses yeux surexcités. Son corps et son regard diaboliques eurent rapidement raison de moi et mon sexe ne demandait bientôt qu’à sortir fièrement et être assailli de toutes les attentions qu’elle voudrait bien offrir.
    
    — Je vais vous donner une pipe, Gufti, dit alors ma partenaire d’une voix suave.
    — Oui, oui, vas-y, donne… répondis-je en rigolant.
    
    Je débouclai ma ceinture et ouvris quelques boutons de mon jean, permettant à Juliette qui s’était agenouillée à mes pieds d’y glisser une main pour en sortir mon sexe tendu.
    
    * * * * *
    
    Une petite demi-heure plus tard, le film tournait toujours, et moi je me mordais les lèvres pour ne pas encore jouir. J’étais en train de sodomiser Éloïse qui, agenouillée et penchée en avant, se caressait vivement le clitoris. J’étais fier de moi : je les avais déjà toutes deux conduites à l’orgasme "classiquement", et j’avais ensuite proposé à Juliette de l’enculer. Le gel lubrifiant qu’on avait rapporté du sex-shop ...
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