1. La p u te et son Don Juan


    Datte: 07/05/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... la tête, elle me fit un moment du pied sous la table. L’œil brillant elle tint à se justifier : « Monsieur, je ne vous l'ai jamais dit mais vous m'impressionnez. Je suis sorti avec peu d'hommes. Ceux-ci avaient souvent votre âge et votre respectabilité. Cela me rassure. Je hais tant les autres hommes.» Je fus peu dupe de ce numéro. Par contre je croyais qu'elle allumait volontiers de vieux zozos comme moi. Je devais être le énième sur sa longue liste. Don Juan ce soir-là prit un grand coup de vieux.
    
    Las, je la laissais faire. Elle n'avait cure qu'on nous vit. Même cela l'excitait de me branler avec son pied sous la table. Finalement l’alcool eut raison de moi. Je jouais le jeu et bandais bientôt. Je me représentais que tout à l'heure je la prendrais et lui défoncerais le cul. Elle me devait à tout le moins cela. Je m'imaginais qu'elle avait fait la putain ainsi avec bien d'autres idiots. Aussi ne fus-je guère étonné dans la voiture qu’elle se pencha sur moi pour me déboutonner et extirper ma bite. Elle branlait bien et suçait avec non moins d'éclat. J'étais épaté de son zèle.
    
    Une prostituée y aurait mis moins d'ardeur. Je découvrais qu’elle adorait la bite. Nulle contrainte en son action. Décidément j'aurais voulu savoir de sa vie et de son passé. Qui l'avait initié à une telle dépravation ? Je subodorais que cela avait été effectué dès le départ dans sa famille. Notamment de la part de quelque vieil oncle débauché. Avec rage je tins à disposer de sa personne et de ...
    ... son corps. Avec deux doigts je furetais déjà l'anus tandis qu’elle me bouffait la queue. Mon intuition était vérifiée que la place souvent avait été prise. Je pourrais l'enculer aisément et sans répit.
    
    Elle ne fit point de manière lorsque je lui dévorais la bouche avec la mienne. Des femmes dont certaines garces répugnent à cela. Elles ont certaines pudeurs. Cela a le don de m'agacer. Pour moi il n'est pas d'autre façon de signer sa totale capitulation. Il me faut pouvoir mélanger nos langues. C'est le sûre signal que l'autre se donne sans reste. Ma salope de ce soir y consentit sans peine. Même elle me laissa accroire qu’elle adorait ma bouche. Sa langue s'entoura autour de la mienne tel un anaconda. Je crus étouffer. J'avais hâte de me retrouver avec elle dans le pieu.
    
    Ce fut une nuit des plus torrides. Si elle avait voulu se débarrasser d'un vieillard, elle ne s'y serait pas pris autrement. Heureusement avais-je le cœur bien accroché. Elle ne pouvait savoir que deux fois par semaine j'alignais des longueurs en ma piscine municipale. De même avais-je encore la bite vigoureuse n'ayant point recours à des produits miraculeux. Je soutins l'effort. Elle fut enculée maintes fois et besognée dedans longtemps. Elle encaissa cela stoïquement et dirais-je presqu'avec flegme. Je devais être le énième qui lui traversait le cul. Elle me laissa y prendre mon plaisir.
    
    Nous dormîmes peu. La fatigue au matin me rattrapa voire une certaine amertume. La bête m’avait vaincu. Ce dragon ...
«1...3456»