1. La p u te et son Don Juan


    Datte: 07/05/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... discrétion ce spectacle. Elle devait percevoir sûrement mes regards vicieux car bientôt elle ajoutât à cela le jeu coquin et puéril que je sus plus tard nommé : dangling. En effet et imperceptiblement elle extrayait son pied de l'escarpin pour balancer celui-ci à son bout. Le jeu finissait des fois que ledit escarpin put choir seul abandonné sur la moquette. Alors le pied orphelin et dont j'admirais le vernis des ongles au travers du bas, s’ébattait en vain dans le vide. Plus d'une fois fus-je tenté de remettre au pied de cette Cendrillon ce noir et bel escarpin.
    
    Elle adopta définitivement cette mise et cette posture. Un jour elle se retourna brutalement comme pour surprendre un de mes regards pervers . Elle ne fut guère déçue. S'il y avait eu un miroir à ce moment-là sans doute eus-je été effrayé de découvrir moi-même mon œil torve et libidineux. Il n'y avait pas de doute qu’elle ne me rangea dans la catégorie ignoble des vieux vicelards. Elle semblait être familière d'une telle engeance. Elle jouait sur du velours avec moi. Elle avait mis un temps court et relatif à diagnostiquer mes vices. Elle déroulait. La partition était écrite. Je succomberais.
    
    Une de mes grandes amies et collègues sembla surprendre un jour ce jeu fatal entre nous. Elle tint à me mettre sur mes gardes. Elle dit sans fard : « Garde-toi de cette salope. Elle veut te croquer. Tu n'obtiendras que ce que tu mérites. » Ces rudes propos ne gagnèrent qu'à confirmer la folie où j'étais, envasé depuis ...
    ... longtemps. Mes nuits étaient empêtrées de rêves où je la possédais. Un matin elle crut devoir porter l'estocade. Comme en de rares occasions elle était assise en face de moi. Elle avait les cuisses croisées. Je tentais à ne pas les observer assidûment. Quelle délicieuse torture.
    
    De façon imperceptible et sans vraiment les décroiser, elle laissa émerger entre et en le singulier triangle des Bermudes, la couleur puis la texture d'une culotte, spectacle qu'elle ne m’avait jamais prodigué. Celle-ci était mauve émaillée de petits motifs et à ma surprise relativement transparente. En effet j'y pouvais distinguer le relief de sa moule qu'elle avait épilé laissant de loin en loin voir de rares poils pubiens. Elle demeura ainsi dix minutes afin que je pus examiner à loisir. Vous devinez l’héroïsme dont je dus faire preuve pour conserver tout mon sang-froid.
    
    Elle avait ce jour-là un sourire ironique. Ses yeux semblablement parlaient. J'eus pu en tirer ce message : « Mon vieux cochon délecte-toi ! Celte chatte si tu veux pourra être à toi. » Nous en étions arrivés en effet au terme de notre voyage. Que pouvions-nous faire d'autre que de consommer ? Dès que le vin est tiré, il faut le boire. Je me souviens du ton peu amène dont j'usais pour clore cet entretien : « J'aimerais que nous dînions un soir pour la fin de ce stage. » Elle feint l'humilité répondant : « Je ne vous oblige à rien mais cela me ferait en effet bien plaisir. »
    
    Je ne pouvais plus reculer. Je me promettais de ...
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