1. La p u te et son Don Juan


    Datte: 07/05/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    Elle baissa la tête dès mon premier regard. Un autre que moi eut pris cela pour de la déférence ou de la timidité. Or mon instinct me soufflât que c'était une vicieuse, une dévergondée qui m'infligeait ici sa comédie. J'adore le jeu du chat et de la souris. Cette femme entre deux âges semblait user de son charme sans vergogne. Brune aux traits réguliers arborant des fois le chignon malgré qu'elle eût la chevelure abondante et somptueuse, elle n'en dégageait pas moins un sentiment de sensualité voire de vice. Sa mise sobre et élégante n'en étant pas moins provocante à certains égards.
    
    Du moins perçus-je cela les jours suivants et après qu’elle sut que j'étais son mentor et dans quel cadre elle allait sévir. Pour travailler elle arborait des lunettes qui conféraient une fausse dignité et la rendaient en même temps si fascinante. Tout en son attitude soufflait alternativement le chaud et le froid. Elle vous obligeait à vous enfoncer plus avant dans ce mystère. Je voyais les autres hommes intrigués par ce personnage. Quant aux femmes cela se disputait entre la colère ou la répulsion. J'avais recueilli une sorte de monstre dans mon bureau. Un tel péril m'excitait.
    
    Je sus dès le premier jour que cela finirait mal. J'étais à une époque à un an de la retraite où j’avais des envies d'Apocalypse et de brûler définitivement tous mes vaisseaux. Ma dernière et jeune maîtresse d'alors s'était moquée de moi et m’avaient humilié devant le monde. J'en étais au point de ne plus pouvoir ...
    ... haïr toutes les femmes, revenu de tout à leur égard. J'aspirais à autre et quelque chose de vague. Je perçus que le destin m'avait envoyé cette créature tel un signal, la marque de la fin d'une époque. J'y laisserais ma peau et des lambeaux de cœur. Ce serait le tour final.
    
    Il lui avait été ménagé un petit bureau à côté du mien. Il était placé de sorte que je la pouvais considérer un peu de côté, elle me tournant quasi le dos. C'était un peu malcommode pour se parler. J'avais choisi à chaque fois pour cela que nous allâmes prendre un café dans l'espace prévu. Nous faisions ensuite quelques pas dans le patio plus loin. Dans ces moments j’avais choisi d'être badin et agréable. Je lui reprochais de trop travailler et d'avoir la mine triste. Je l'encourageais à aller papoter avec ceux de son âge dans les autres bureaux. Elle ne pouvait être vissée à son seul siège.
    
    Elle répondait à cela qu'elle comptait énormément sur le succès de ce stage. Que mon avis emporterait tout. Je lui répondis que j'avais une réputation peu sévère et qu'en général je notais bien mes stagiaires. Elle poursuivit en me témoignant qu’elle n'avait guère eu de chance en sa vie et qu’elle avait trop conscience de ses limites. Il est vrai que j'avais remarqué une propension chez elle à trop vite s'irriter et un défaut de concentration dès que les difficultés augmentaient. Je lui accorderais quoiqu'il en soit un satisfecit l'abreuvant en même temps de mes conseils.
    
    J'escomptais que ceux-ci pussent la ...
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