1. La p u te et son Don Juan


    Datte: 07/05/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... l'emmener chez moi pour la sauter. J’avais fait cela maintes fois avec de jeunes collègues dont quelques stagiaires. Elle subirait le même sort. Rien d'insolite ni de barbare là-dedans. La routine quoi ! Je voulais mettre un terme à ce qui me paraissait de plus en plus une torture, une souffrance. Cette salope me mangeait le cerveau. Funeste vampire il fallait m'en débarrasser pour de bon. Il fallait que je lui donne ce qu’elle voulait et basta. Il en allait de ma raison et de ma quiétude. Ce jeu dangereux n'avait que trop duré.
    
    Ce dîner fut une descente aux enfers. Je l'avais moi-même organisé. On eût dit un suicide à la Petrone. J'y jouais mon va-tout. J'étais furieux sachant le sort qui nous attendait tous deux. Elle méprisait sûrement ce vieux cochon qui allait lui infliger un je ne sais quoi. J'avais joué souvent cette mauvaise pièce. J'avais abusé sans vergogne de mes pauvres victimes. Peut-être le destin l'avait ce soir-là dépêché pour venger toutes ces autres. On allait faire payer ce piteux Casanova, ce pathétique et vieux Don Juan. Il avait par trop écumé la scène. Il fallait l'en jeter définitivement.
    
    J'étais familier du restaurant. Le serveur ami et complice crut devoir me louer de ma dernière conquête. Peut-être escomptait-il que par un heureux hasard je puis une fois de plus lui faire partager les faveurs de la belle. En effet je ne dédaignais pas d'aller des fois chez lui fort tard pour user et abuser d'une garce. Certaines s'y prêtant volontiers. Ma ...
    ... nouvelle stagiaire sembla lui être à son goût. Elle aussi à mon grand dam ne se priva de l'allumer. Je pus ce soir-là éprouver son toute impudicité. Chaque mâle semblant lui être occasion de tractation ou de débauche. Elle irait loin.
    
    D'emblée j'écartais l'hypothèse que nous finîmes en trio dans un lit. Je ne voulais pas qu'il eût cette nuit-là un témoin de mon ultime Bérézina. Si ces deux-là voulaient s’envoyer en l'air ce serait plus tard et sans moi. Je fus maussade tout le long du dîner. J’invoquais une migraine et des soucis familiaux. Elle crut devoir à contrario paraître plus enjouée et coquine que d'habitude. Elle me dit qu'il lui tardait de voir finir ce stage et aborder à son premier emploi. Je l'avais de toute façon assuré du succès de ce stage. Ce dîner était pour tous deux une façon de bien célébrer.
    
    Elle portait ce soir-là une robe noire courte fort échancrée en son haut. Elle voulait sûrement que je goûtas le haut de ses seins non moins que celui des cuisses. Elle était outrageusement maquillée ce soir-là. Cela faisait assez pute. Je pris cela plutôt mal. Je ne comprenais pas qu’elle recourut à ce pareil excès d'autant qu’elle savait que je n'en avais besoin pour avoir envie de la baiser. J'en conclus qu'elle voulait en même temps exciter d'autres mâles. Bref je dus paraître cette fois-là trimbaler une pute que j’allais consommer plus tard. Faisait-elle cela pour m'humilier exprès ?
    
    Comme pour me dérider et prenant prétexte que le champagne lui montait à ...
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