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La p u te et son Don Juan
Datte: 07/05/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... prémunir pour la suite de sa carrière. Je l'enjoignais notamment d'être plus sociable et enjouée à l'égard des autres. On n'obtient rien tout seul. Cultiver autour de soi ennemis et indifférence nous nuit à force. Je la trouvais trop méprisante quand il s'agissait de ses congénères. Ceux-ci le sentaient qui le lui rendaient assez bien. Je ne parvenais à cerner l’origine d'une telle v******e. L'argutie psychanalytique me répugnant, j'aurais voulu qu'elle me raconte davantage de son histoire. Par maints allusions je tachais de lui savoir quelqu'amant ou soupirant. En attendant j'observais qu'elle avait adopté certaines mises et postures à mon égard. J'ai toujours eu une dévotion particulière pour les belles jambes de femme. Je sais ce vice remonter jusqu'à mon enfance. Ma mère recevait souvent une voisine demeurant dans le pavillon d'en face. Elle s’appelait Anne-Marie, une brune ronde et espagnole. Celle-ci avait la manie de s'asseoir sur une bordure pour papoter avec ma mère. Moi et mes autres frères nous jouions peu loin avec nos petits soldats. Établi au ras du sol mon regard atteignait à l'endroit où elle écartait les cuisses révélant une culotte. J'eus la première révélation et illumination des bas. Les siens étaient couleur-chair. Je trouvais qu'ils conféraient quelque chose de magique à sa peau blanche et par ailleurs magnifique. Elle passait souvent sa main sur ses jambes comme si celle-ci eût put être la mienne et par procuration j'en imaginais la chaude et ...
... douce prégnance. Je lui dus dans mes nuits, mes premiers émois sexuels. Quel trouble lorsque ma main fut emplie de la substance tout droite émanée de mon sexe. Je m'étais trop fort représenté ses cuisses, ses jambes. Par la suite je poursuivis ce culte jusqu'à ses pieds. Ceux-ci notamment l'été, étaient enchâssés de sabots qui était de mode alors. J'en vénérais le claquement sur la dalle lorsqu’elle s'annonçait à l’entrée du jardin. Je m'arrangeais toujours pour être en face de ce spectacle. Il n'est pas inconcevable qu'elle ne perçut l'intérêt pour elle de ce petit garçon, aîné des trois autres. Je veux même croire que cela demeura pour elle comme inconscient, un jeu innocent à l'adresse d'un potentiel et futur mâle. Cela n'engageait à rien. Réelle garce cet allumage aurait mené autrement à conséquence avec un mâle adulte. Elle s'essayait un peu sur moi. Ma stagiaire après avoir arboré des bas noirs se présenta un matin à ses jambes avec des en couleur-chair qui renvoyaient justement à ce lointain et mythique passé. On eût dit que la voisine d'outre-tombe lui avait soufflé le secret. Elle savait le défaut de ma cuirasse et où m'atteindre immanquablement. Outre ces bas fastueux, elle avait choisi ce jour-là une robe noire moulant ses formes et en même temps courte au point qu'on lui voyait poindre impunément lorsqu’elle était assise à la naissance du bas, une chair blanche et succulente. Une boule se nouait dans ma gorge. Il m'était loisible de savourer en toute ...