1. Peter, ma culotte et mon avocat...


    Datte: 19/03/2021, Catégories: fh, ffh, fépilée, magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Humour ecriv_f, Auteur: Lolo, Source: Revebebe

    ... Tourne-toi.
    
    Je dégrafai son soutien-gorge tout en restant face à elle ; mes poignets effleuraient son buste et je sentis qu’elle respirait plus fort. Je fis glisser une à une les bretelles, avec douceur pour ne pas l’effaroucher. Elle avait une poitrine ronde, encore en devenir. Ses tétons étaient dressés ; je sentais son émoi de jeune fille.
    
    — Tu as des seins magnifiques.
    
    J’ôtai alors le caraco pour le lui passer. Nous restâmes un instant seins nus à nous contempler et c’est elle qui ébaucha le geste de me caresser la poitrine. Je me penchai vers elle pour lui signifier mon envie ; elle s’enhardit ; mit une main sur chaque sein qu’elle caressa doucement de toute sa paume ; puis elle s’approcha et frotta ses tétons contre les miens. Je soupirais d’aise ; je me dis dans un éclair de lucidité que j’allais être obligée d’acheter l’ensemble tant je l’aurais mouillé à l’issue de la séance d’essayage. Mon avocat, que j’observais de biais, se caressait à travers son pantalon, légèrement adossé au mur de la cabine voisine. Je glissai ma main sur le ventre de la jeune fille qui se mit à gémir ; je déboutonnai alors son jean et le fis descendre à mi-cuisse ; le string suivit le même chemin.
    
    Je la poussai contre le mur du fond pour qu’elle puisse s’adosser et je commençai d’une main experte à la caresser entre les jambes ; je remontai progressivement, découvris son intimité toute trempée de désir. J’avais moi-même changé de posture pour faciliter ma tâche de sorte que ...
    ... j’étais dos au rideau légèrement penchée vers ma jeune partenaire. Mon avocat, las de n’être que spectateur, s’approcha alors et se faufila dans la cabine ; il se colla contre moi et je sentis ses doigts familiers courir le long de mon dos, la pression de son sexe contre mes fesses malgré les couches de tissu qui nous séparaient encore. Le bruit d’un zip me signala qu’il passait aux choses sérieuses tandis que mes doigts titillaient le clitoris de la lolita qui miaulait en se tortillant. Mon chéri me poussa légèrement en avant, baissa mon boxer aux rubans défaits et frotta sa verge contre ma raie.
    
    A mon tour, je commençai à gémir de désir. Il ne se fit pas attendre et nos deux sexes s’emboîtèrent. Il me caressa d’une main le petit bouton tandis que l’autre me claquait les fesses ; je redoublai d’intensité auprès de la jeune fille qui finit par pousser un petit cri et s’effondrer sur la chaise. Mon amant me besogna encore quelques minutes ; je l’accompagnais du mieux que je pouvais, de roulements de hanches, de soupirs entrecoupés de paroles crues. Il m’annonça qu’il allait arriver au bout de son ouvrage et je sentis que j’étais baptisée de son essence. Décidément, j’allais devoir acheter cet ensemble !
    
    Lorsque nous sommes passés à la caisse une dizaine de minutes plus tard, une nouvelle caissière avait pris son service et semblait avoir été avertie d’un incident. Au moment de payer, elle me questionnait :
    
    — C’est vous, la dame qui avait perdu sa culotte ?
    
    Mon avocat ...
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