1. Peter, ma culotte et mon avocat...


    Datte: 19/03/2021, Catégories: fh, ffh, fépilée, magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Humour ecriv_f, Auteur: Lolo, Source: Revebebe

    ... toutes maternelles. De tigresse, je deviens poule et après l’avoir fait jouir, je le couve.
    
    « Warm then soft » rien à voir avec Peter où on restait bloqué à température ambiante 19°, la température minimum conventionnelle, pour la bonne bourgeoisie : ni trop chaud ni trop froid. Pas de risque de choc thermique !
    
    Or, lorsque mon volcan se calme après un séisme de plaisirs, et que lui-même laisse sa lave refroidir doucement après l’éruption, nous avons parfois le temps d’échanger des idées sur l’oreiller et j’aime son ouverture d’esprit, son sens de l’humour et sa culture. Alors quand je sens que d’amant lumineux, il devient pour moi un tendre refuge, un ami intime, je remets quelques distances, je l’évite, le temps de reprendre tous mes sens, la direction de ma vie. Hors de question de rompre notre contrat tacite. Que du cul, de l’éphémère, de la légèreté…
    
    No future, comme avec Peter.
    
    Un jour, nos rendez-vous clandestins s’arrêteront d’eux-mêmes, soit que j’aurais trouvé un homme qui me prenne comme je suis, et accepte qu’une sacrée salope au lit puisse faire une épouse honnête, soit qu’il parvienne à réveiller chez son épouse légitime un tempérament de feu qui lui permette de combler ses désirs et ses fantasmes à domicile sans s’abîmer ailleurs…
    
    Mais je m’égare. J’étais partie pour vous faire partager quelques truculents nouveaux épisodes de notre relation.« So disgusting » pour Peter. J’hésite ; quelle histoire vous plairait le mieux ?
    
    J’y suis ! Pour ...
    ... aujourd’hui, je vais vous raconter nos courses dans un grand magasin.
    
    C’était il y a quelques mois, nous étions en hyperactivité professionnelle et nous n’avions que très peu de temps libre pour nous voir et mille soucis chacun à notre échelle, à gérer en permanence. Nous avions convenu de nous retrouver à l’étage Lingerie d’un grand magasin parisien. En général, je déteste la foule et ces grandes boutiques, mais il y avait peu de monde car c’était une semaine avant le début des soldes. J’étais arrivée la première et j’avais commencé à examiner de près les différents articles. J’ai un faible pour le rose et les matières fluides, un peu transparentes, j’aime les voiles légers qui effleurent la peau. Je porte moins de noir depuis que je sais qu’il n’en est pas friand mais j’innove du même coup, en tentant des vert anis ou des coloris chocolat très seyants.
    
    Ayant une poitrine plutôt menue, je me laisse parfois tenter par des push-up, pour tromper un peu le chaland. J’ai repéré un délicieux bustier dans les tons orangers, qui se lace devant avec un ruban en satin noir ; le tissu était d’une grande finesse avec des reflets dorés brillants et très transparent. Un boxer assorti avec les mêmes rubans en satin se nouant sur le côté, complétait la tenue. J’éprouvais la douceur du tissu de mon pouce, en rêvassant un peu, lorsque je sentis un index bien plus réveillé, éprouver la fermeté de mon cul au travers de ma jupe en cuir :
    
    — Tu es là ? Continue, j’adore…
    — Comment peux-tu ...
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