1. Au service de ma grande Sœur


    Datte: 17/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byslavio63, Source: Literotica

    ... que j'aime énormément. Cela dégage son long cou si élégant et sa nuque duveteuse, et je lui dis qu'elle est plus belle que jamais.
    
    Elle me lance un vague merci et va directement dans sa chambre se jeter sur son canapé où elle aime se prélasser et auquel je n'ai pas droit, même quand elle s'absente. Pendant qu'elle examine ses admirables mains qui ont reçu des soins de manucure, je me précipite spontanément à ses pieds pour lui ôter ses boots (ça me fera une paire de plus à nettoyer) et lui enfiler ses mules d'intérieur, d'un joli bleu parsemé de fils dorés. Elles ont un léger talon et m'ont plus d'une fois piétiné le torse quand je sers de repose-pieds à ma Sœur chérie, lorsqu'elle regarde la télé, lit, écoute de la musique ou téléphone à une amie ou un amant. Celles-là aussi, je les ai longuement humées, et leur parfum aussi m'a donné de belles mais douloureuses et inutiles érections.
    
    Je dois expliquer en quoi mes érections sont presque toujours « douloureuses » et « inutiles ». « Tu veilleras à ce que ton frère reste chaste! » a recommandé Maman à Clémentine lorsqu'elle nous a laissés quitter l'Ardèche pour Paris, et qu'elle lui a tendu un paquet en disant avec un beau grand sourire et un air un peu mystérieux, tout en serrant ma Sœur dans ses bras et en lui couvrant le visage et les lèvres de baisers : « Ce qu'il y a là-dedans devrait te faciliter la tâche, ma Fille chérie! »
    
    Une fois dans la capitale, je n'ai pas mis longtemps à découvrir le contenu du ...
    ... paquet... et à l'expérimenter à mes dépens. C'était une cage de chasteté dans laquelle ma Sœur, ayant lu la notice de montage, s'empressa d'enfermer mon sexe et mes boules avant de la cadenasser. Comme j'ai été modestement pourvu par dame Nature, cette cage était un peu trop grande pour moi, ce que je pris d'abord pour un avantage (ne pas m'y sentir trop serré), illusion dont il me fallut bientôt déchanter...
    
    En effet, ce léger « débattement » si j'ose dire permettait à un début d'érection de se développer lorsque quelque chose m'excitait. Or, dans la promiscuité où je vivais avec ma Sœur, en l'aidant dans son bain, en la vêtant et dévêtant, en la voyant si libre dans sa vie et sa conduite, en écoutant ses mots décomplexés, en respirant ses parfums sur elle et sur ses habits, en l'entendant se donner du plaisir dans la chambre tandis que je faisais la vaisselle ou accomplissais quelque autre corvée..., j'étais constamment excité, et même surexcité. Par exemple, si j'étais agenouillé devant Clémentine pour mon service (lui massant les pieds, par exemple, ou léchant une dernière fois les souliers avant qu'elle ne sorte...) et si un mouvement de sa jupe ou de sa robe me dévoilait ses cuisses, portant ou non des bas, et son entrejambe, nu ou protégé par une jolie petite culotte, je sentais mon sexe durcir, prendre de l'ampleur... et tout de suite cette chose diabolique qui contraignait mon sexe se mettait à me faire vraiment mal.
    
    C'est que l'intérieur de la cage était hérissé de ...
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