1. Au service de ma grande Sœur


    Datte: 17/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byslavio63, Source: Literotica

    ... et implacable soit-elle! Et tu verras qu'un jour, tu me remercieras d'avoir été aussi impitoyable avec ton frère... »
    
    J'ajoute tout de suite ici que la leçon ne fut pas perdue. Ma Sœur Clémentine, quoique moins susceptible et moins colérique que Maman, a hérité de son caractère dominant et de ses qualités de Femme. Ses gifles à elle, moins fréquentes peut-être, sont aussi redoutables et je n'ai pas trouvé d'autre moyen de la calmer et de l'adoucir que celui de m'abaisser le plus bas et le plus vite possible devant elle en lui présentant mes excuses les plus humbles, comme Maman m'a habitué à le faire devant toutes les deux.
    
    Et je crois qu'effectivement, Clémentine remercie notre Mère d'avoir fait de moi l'être doux, abandonné et docile que je suis devenu, obéissant aveuglément à ma Sœur et prêt à supporter pour l'amour d'Elle toute sorte de fatigue et d'inconvénients...
    
    Donc, à la maison, pendant que ma Mère et ma Sœur discutaient, se délassaient, se reposaient ou faisaient ce que bon leur semblait, dès mes treize, quatorze ans, je m'occupais de tout ou presque, y compris de l'entretien des abords et du petit parc qui entourait la maison. Il n'y avait que pour la cuisine que Maman avait embauché une femme de service qui concoctait des plats simples mais délicieux, femme que, naturellement, je devais aider à éplucher, dénoyauter, laver, ranger, ou à touiller les sauces..., de telle sorte que j'ai appris sous sa férule ces rudiments de cuisine qui me permettent ...
    ... aujourd'hui de préparer pour ma Sœur des plats qu'elle me fait l'honneur d'apprécier, quand elle déjeune ou dîne à la maison, et dont elle me permet la plupart du temps de savourer les restes... quand elle en laisse! Cette brave Dame m'inculqua aussi les principaux rudiments du repassage, pour ce qui est des choses simples, et du service à table.
    
    C'est de ce moment que date cette habitude qui fut prise de ne pas me réserver de repas : je me nourrissais de ce que je grappillais en cuisine et de ce que laissaient la Femme et la Jeune Fille. Heureusement, gourmandes comme elles l'étaient, je devais toujours les servir copieusement, et il me restait presque toujours des restes à grignoter, sucer ou lécher dans leurs assiettes, avant de les laver. Je ne dédaignais pas les morceaux de viande nerveuse mâchés et recrachés, les bouts de gras, les quignons imbibés de sauce, les croûtes de fromage, les débris de salade ; je rongeais le peu de viande qui restait sur certains os et aspirais ce qu'il y avait dans ceux qui étaient creux... Malgré tout, il m'est très souvent arrivé de devoir faire le service en entendant mon ventre gargouiller de faim et d'envie...
    
    ***
    
    Quand Clémentine rentre de l'Institut de Beauté, vers dix-neuf heures trente, elle est resplendissante. Son maquillage est parfait et sa coiffure lui sied à ravir. Ses longs cheveux noirs, brillants, fins et doux comme de la soie, ont été remontés à l'arrière de sa tête en une jolie masse noire dans le style peigné-dépeigné ...
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