Au service de ma grande Sœur
Datte: 17/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byslavio63, Source: Literotica
... prendre car j'ai aussi du travail scolaire qui m'attend pour lundi. Cependant, je n'ose rien dire et Clémentine s'en va tranquillement pendant que je me rends dans le débarras où je dispose au sol les chaussures, les divers cirages et produits d'entretien, ainsi que les instruments (couteau à décrotter, chiffons et brosses) sur un tapis réservé à cet effet, au centre duquel je m'agenouille ensuite, entouré de ce joli et troublant troupeau de chaussures féminines.
Tout en travaillant, je me dis qu'une fois de plus, c'est de nuit que je devrai me pencher sur mes livres et mes cahiers, car demain dimanche, je devrai sans doute m'activer encore au service de Clémentine. Cela ne m'empêche pas, quand je vois une trace boueuse ou de la poussière sur une tige ou une empeigne, de commencer par l'enlever avec ma langue, car je suis fétichiste aussi de tout ce qui embellit les jambes et les pieds de ma grande Sœur... en fait, des Jeunes Filles et des Femmes en général. Combien de fois n'ai-je pas eu la joie de lécher ses bottes et de les enduire de ma salive (excellente pour la bonne tenue du cuir, paraît-il) quand elle les avait aux jambes et que cela lui plaisait de régner sur son frère?
De temps à autre, je porte à mon visage une paire de chaussures ou de bottes qui me paraissent plus « parfumées » que d'autres et j'y enfouis mon vilain museau de pervers. Inhalant profondément ces senteurs qui me viennent d'« Elle », je me soûle de ces doux arômes mêlés de cuir, de cirage ...
... et de sueur féminine.
Clémentine et moi vivons ensemble dans un petit deux-pièces de la rue de la montagne Sainte-Geneviève, dans le cinquième arrondissement de Paris, tout près du Panthéon, sous l'église Saint-Étienne-du-Mont. Ce modeste logement se trouve au quatrième et dernier étage d'une vieille maison, sans ascenseur évidemment. J'entends souvent ma Sœur dire à ses copines mieux loties : « Oh, vous savez, moi, ça ne me gêne pas du tout qu'il n'y ait pas d'ascenseur ». Forcément! S'il y a quelque chose de lourd à monter (deux gros sacs de courses...) ou à descendre (une poubelle pleine à ras bord...), c'est moi qui m'en charge. Et si Clémentine s'écrie : « Oh, mince alors, je n'ai plus du tout de vernis à ongles! » devinez qui doit dévaler l'escalier pour courir lui en acheter, avant de remonter à toute allure... Mais je ne me plains pas car j'ai la chance de vivre près de ma bien-aimée Sœur, dans son ombre, dans son parfum.
Clémentine occupe notre seule chambre où je lui ai installé un lit à lattes avec un bon matelas, les deux tout neufs, le reste provenant d'une brocante : chaise paillée, armoire à glace avec penderie, étagères pour les livres, canapé deux places recouvert de velours gris, de belle apparence et très confortable ; enfin, best of the best : bureau à tiroirs à la surface bien vernie et fauteuil de direction pivotant en cuir noir à haut dossier, avec appuie-tête, que Clémentine trouve « vraiment confortable ». C'est dans cette pièce que s'ouvrent ...