1. Au service de ma grande Sœur


    Datte: 17/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byslavio63, Source: Literotica

    ... menus « points d'intrigue » (appellation dont je n'ai jamais compris l'origine ni le sens), c'est-à-dire de picots menus mais pointus qui pénétraient dans la chair de ma verge et de mon gland dès lors que l'érection s'accentuait, ce qui avait pour effet de la faire presque immédiatement retomber. Toute la nuance gît dans ce « presque » car, entre le début de mon érection et son reflux obligé, j'avais largement le temps de souffrir...
    
    C'était quelque chose que je trouvais très humiliant et totalement injuste, car je savais que notre Mère, ainsi que ma Sœur (dès que celle-ci avait été en âge), s'étaient toujours accordé une totale liberté sexuelle et se laissaient aller à satisfaire tous les désirs que leur insatiable appétit sexuel faisait naître en elles. Envies charnelles, envies de plaisir que leur beauté et leur prestance naturelles rendaient aisés à contenter, car les « mâles » désireux de leur plaire et si possible de les combler étaient légion. Et il y a avait même pas mal de Femmes qui les admiraient et les désiraient.
    
    Pendant la semaine, je restais « encagé », urinant assis (chez nous) ou accroupi (à la campagne), et me lavant sans être délivré de ce piège. Le dimanche, à l'occasion de la grande toilette à laquelle j'avais droit de par décision de ma Sœur, Clémentine ouvrait le cadenas pour quelques heures, me délivrait de cet étui atroce et vérifiait que mon pénis, marqué par la trace rougeâtre des picots, n'avait pas subi d'atteintes plus graves. Il lui ...
    ... arrivait de me dire : « Ta petite queue a bien souffert, on dirait! Quand tu seras tout propre, reviens me voir. Je t'enduirai la verge et les testicules d'une crème apaisante ».
    
    Je pouvais alors me doucher librement et la plupart du temps, quand je n'avais rien fait de la semaine pour la contrarier ou la mécontenter, Clémentine m'autorisait ensuite à me retirer dans le débarras pour y faire « ce que je voulais ». Elle savait très bien que j'en profitais pour me masturber frénétiquement, agenouillé devant la chaise sur laquelle j'avais posé de chant une grande photo érotique de Clémentine, et le groin plongé dans quelque vêtement, sous-vêtement ou soulier imprégné de ses senteurs. Je me vidais de quantités considérables de sperme, presque toujours sur ma paire de bottes préférées, massant ensuite le cuir pour y faire pénétrer ma laitance. Et c'était pour moi une merveille d'humiliation consentie de me dire que mon jus ne servait qu'à cela : assouplir et entretenir le cuir des bottes de ma Sœur chérie...
    
    ***
    
    Ce soir-là, à peine lui ai-je enfilé ses mules, Clémentine me demande : « Tu as fini tout ton travail? » Et comme je lui réponds que non, que je n'en ai pas eu le temps, elle fronce les sourcils comme pour dire « Ça m'aurait étonnée! » et m'ordonne : « Présente-moi ce que tu as fait alors! » Craignant une punition, je m'empresse de lui apporter ce qui est déjà propre et reluisant et m'accroupis à ses pieds. Elle vérifie en premier lieu l'état des bottines rouges en ...
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