Mensonge et trahison
Datte: 17/03/2021,
Catégories:
fh,
amour,
69,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... desserre, permettant au pouce de frictionner la fente. Longuement Pascal poursuit ses attouchements. Puis les plaintes cessent.
— Viens, maintenant, murmure-t-elle.
— Non, c’est toi qui vas venir, tu choisiras le moment.
Pascal s’allonge sur le dos, prend Véronique par les hanches et la place à cheval sur ses jambes. Dressée sur ses genoux, elle met le pal en position, mais ne fléchit pas les jambes.
— Caresse-toi, ne t’occupe pas de moi, lui dit-il.
Elle ferme les yeux, avance sa main et se masturbe. Il a pris les seins et continue la caresse interrompue. Le gémissement a repris, un doigt s’active. Elle tremble, s’affaisse doucement, mettant elle-même inconsciemment en place le pieu si redouté. Ses plaintes s’accentuent. Très droite, elle s’agite, se redresse, retombe. Et soudain, c’est un cri de plaisir. Elle s’écroule contre le torse de l’homme, toujours emboîtée. Pascal est enchanté de cet épisode, bien qu’il soit resté sur sa faim. Mais le progrès réalisé est prometteur pour l’avenir. Reprenant conscience, elle se rend compte qu’elle est rivée à son partenaire. Se redressant, elle part en un galop échevelé jusqu’à ce que Pascal la saisisse par les hanches pour l’immobiliser et se déverser longuement.
Ils sont couchés côte à côte, la tête de Véronique sur le bras de son ami.
— Tu vois, tu as fait l’amour. J’espère que ça n’a pas été trop pénible ou douloureux.
— Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir, seule ou même avec des copines, c’est ...
... merveilleux ! Pascal tu es un magicien. Il est vrai que c’est moi qui me suis donné du plaisir, mais ton sexe en moi a éveillé des sensations que je n’avais jamais connues. - C’est tout simplement le plaisir normal qu’éprouve une femme en faisant l’amour.
Ils restent toute la journée dans l’appartement. Pascal la regarde mettre de l’ordre, préparer quelque chose à manger, chantonner, l’embrasser chaque fois qu’elle passe auprès de lui. Après manger, elle veut à nouveau « baiser » comme elle se plaît à dire. Comme le matin, il la caresse longuement, puis d’elle-même prend le dessus, se caresse un peu avec le sexe, puis descend lentement. Et c’est elle qui lui a fait l’amour jusqu’à leur plaisir commun simultané. Après, ils ont discuté longtemps. Ils ont décidé de garder secrète leur liaison. Ils se verront de temps en temps, mais le soir, ils ne quitteront pas le travail ensemble. Professionnellement, ils vont bientôt être séparés, son mois de stage dans l’équipe terminé, elle va aller dans les bureaux.
Pendant la semaine, les copains ont été surpris par la bonne humeur évidente de Véronique. Pascal a su garder son air impassible.
— Tu as retrouvé ton copain dimanche ? lui ont-ils demandé.
Elle n’a pas répondu, se contentant de sourire. Deux fois, les amoureux se sont retrouvés, puis les contraintes de la nature les ont obligés au calme. Le samedi soir, elle a réuni l’équipe au bistrot pour leur payer l’apéritif. Ils l’ont quittée en l’embrassant et lui assurant qu’elle ...