Mensonge et trahison
Datte: 17/03/2021,
Catégories:
fh,
amour,
69,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... fraîche, elle revient se blottir et lui murmure : « Merci ». Apaisée, elle s’endort comme un bébé.
Pascal a mis longtemps à trouver le sommeil. Cette fille lui pose un problème. Il n’est pas un Don Juan, certes, mais quand même, il trouve facilement des filles qui acceptent de partager sa couche après une soirée en boîte. Mais avec celle-ci, il ne sait pas comment faire. De plus, ils travaillent ensemble. Quelle va être son attitude lundi ?
Son bras engourdi le tire du sommeil. Au-dessus de lui, le visage de Véronique qui le regarde d’un œil brillant, le sourire aux lèvres.
— Excuse-moi pour hier, mais je ne prends pas la pilule et je n’ai pas envie d’être enceinte.
— Oh, il y avait peu de risques, avec ce qu’on a fait.
— J’ai enfin touché une bite.
— Quel mot tu emploies ! Tu as déjà eu des rapports et tu n’en avais jamais touché une ?
— Non, la première fois que j’ai fait l’amour, c’était en terminale avec un copain de lycée, on a fait ça dans sa chambre, il était puceau, il m’a littéralement défoncée. J’ai eu terriblement mal, lui était tout fier. Après, en école de commerce, un copain sympa m’a convaincu d’essayer à nouveau. Mais le traumatisme de la première fois a dû me bloquer. Nous sommes restés quelque temps ensemble, j’étais passive, je n’ai jamais eu de plaisir, au contraire. Il m’a plaquée, me traitant de planche à repasser. Et hier, pour la première fois, hier, j’ai pris mon plaisir auprès d’un homme. Je reconnais que pour toi, ça n’a pas dû être ...
... merveilleux.
— Ce n’est pas grave, le principal c’est que tu sois bien.
— J’essaierai bien, mais ne prenant pas la pilule…
— Si tu veux vraiment, j’ai ce qu’il faut, lui dit-il en souriant.
Il se lève et va chercher un préservatif dans la poche de sa veste. D’ordinaire, c’est sa compagne d’un soir qui met en place la protection. Mais inutile de compter sur Véronique, son œil curieux indique qu’elle n’a jamais vu une capote. Elle regarde ses gestes avec attention. La main féminine s’avance vers le sexe ainsi paré. Elle le serre afin de connaître la sensation au toucher. « Je ne peux plus reculer », pense-t-elle. Résignée, elle s’allonge, attendant le mâle. Comprenant ses craintes, Pascal commence par l’embrasser. Elle répond avec fougue, mais il sent son manque d’expérience. Pendant ce temps, la main s’aventure vers un sein. C’est un effleurement, une caresse tendre. Pas de réaction. Deux doigts s’emparent de l’extrémité et doucement la chatouille. Elle s’est figée. Pascal se redresse, sa bouche vient saisir le second bourgeon. La langue s’active, les doigts font rouler l’autre. Elle se détend un peu. Après quelques minutes, elle commence à gémir, et ce n’est pas de douleur. La seconde main descend le long du ventre, frôle la toison, se pose sur le sexe, s’immobilise. Les jambes se sont resserrées. Pascal continue son action sur les mamelons. Les plaintes ont repris, en s’amplifiant. Un doigt va chercher le minuscule bouton et doucement le sollicite. L’étau des cuisses se ...