1. Mensonge et trahison


    Datte: 17/03/2021, Catégories: fh, amour, 69, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... m’appeler Pascal, je te dirai Elodie, reprenons le tutoiement, ce sera plus simple.
    — Mais jamais je n’oserai.
    — Je suis ton patron et je t’en donne l’ordre.
    — Si vous voulez, Pascal
    — Et puis, hier au soir, nous nous sommes tutoyés. Continuons comme ça.
    — Ça, je ne pourrai pas.
    — C’est un ordre. Que prends-tu café, thé ?
    — Laissez… laisse, je vais le préparer.
    — Je vais chercher les croissants.
    
    Pascal est sorti, satisfait de ses premiers résultats. À son retour, Elodie avait enfilé un survêt, la rajeunissant encore.
    
    — J’ai préparé du café et du thé.
    — Merci, pour moi, c’est café. Tiens prends des croissants, tu dois avoir l’estomac vide.
    — Oh non, je n’ai pas faim. »
    
    Installés devant la petite table, Pascal la fait parler afin de provoquer le tutoiement. La discussion est venue sur la veille, il lui a dit d’oublier, sa secrétaire de son côté ne dirait rien. Avant de partir, il lui précise que tout cela devait rester secret et qu’au travail il restait monsieur le Directeur.
    
    Le lundi matin, Pascal a repris le travail normalement. Elodie n’a rien changé dans son comportement. Simplement, elle le regarde d’un œil nouveau. Il est vieux, oui, presque dix ans de plus, mais il est bel homme et au lit, il doit être un bon coup. Je crois que je me le ferais volontiers. On peut toujours essayer. La secrétaire suit d’un œil amusé la comédie qui se déroule devant elle. Elle aime bien son patron et se tient prête à l’aider.
    
    Aujourd’hui, à l’heure de la fermeture, ...
    ... la pluie tombe régulière et soutenue. Madame F a un parapluie, elle vient toujours à pied. Elodie elle n’a aucun vêtement protecteur. Pascal leur propose de les raccompagner. Elles acceptent volontiers. Pascal s’est mouillé pour amener la voiture devant la porte. Toutes deux embarquent. Il propose de déposer d’abord Elodie qui habite plus près, puis la secrétaire. Cette dernière proteste, mais il ne l’écoute pas. Un moment après, après avoir posé la jeune fille, Pascal se trouve devant chez madame F.
    
    — Je vous remercie Monsieur. Vous êtes tout mouillé, voulez-vous venir vous sécher, prendre un café ? propose-t-elle, supputant un refus de son patron.
    — Volontiers.
    
    Surprise, mais enchantée, elle accepte. C’est un appartement parfaitement rangé qui les accueille, reflétant le caractère de son occupante. Après l’avoir débarrassé, elle lui a donné une serviette, mis en marche a cafetière et est partie se changer. Ses cheveux secs, il va vers la salle de bains poser la serviette. La porte de la chambre est entrouverte, Pascal jette un œil et voit de dos une magnifique femme en sous-vêtements. Oubliée la secrétaire toujours vêtue de robes strictes, très bien coupées, soulignant sa compétence, mais effaçant totalement sa féminité. C’est un corps encore assez mince, mais avec des courbes harmonieuses. Immobile, silencieux, il contemple ce tableau. Se retournant pour saisir une robe, elle voit son patron figé d’admiration. Tous deux restent immobiles, muets. Puis il entre dans ...
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