Un massage révélateur
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
2couples,
voisins,
fsoumise,
hsoumis,
Oral
hsodo,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... littéralement dévastée par cette queue qui la baise. Elle approche son téléphone si près que j’entends le ressac de la salive, les gémissements de l’homme. Et puis elle fait le tour et me montre cette autre queue qui encule. Cette queue qui libère l’anus, juste le temps de le saisir dans cet instant obscène où il reste ouvert, bâillant d’envie, quémandant d’être repris, juste avant que la queue revienne en prendre possession. C’est une vision que je ne connaissais pas. C’est la vision de celui qui sodomise, pas de celle comme moi qui s’est laissé faire. On dirait que l’anus vit, que le sphincter est son propre maître. Étonnant ! Surprenant ! Dérangeant, mais aussi excitant.
Et puis elle va vers Claire. À elle, Agnès montre son écran. Son écran qui doit m’afficher, voyeuse nue derrière ce miroir. Elles échangent quelques mots et Claire regarde manifestement dans ma direction avec un sourire complice. Ce n’était pas prévu. Je pensais rester anonyme, et une autre femme est au courant. Mais je n’ai pas le temps de réagir qu’Agnès retourne vers les hommes. Moi aussi j’ai entendu par son micro des mots qui préviennent. Et je suis aux premières loges.
Je vois Hugo jouir et étouffer son soumis par des flots de sperme. Du sperme qui coule des lèvres et qui va se joindre aux coulures de salive qui souillent le visage, se mêlant aux larmes que cette possession profonde a provoquées.
Et puis c’est au tour de l’autre homme qui, lui, décharge dans le cul. Un instant je suis à la ...
... place de Régis. C’est agréable de sentir ses entrailles inondées. Presque plus agréable ; en tout cas, bien plus sensible que dans son vagin. Et je vois aussi ce que toute enculée ressent lorsque la bite abandonne le trou. Cette coulure de foutre que l’on sent tracer son chemin et tomber vers le bas. Cette coulure, je la vois. C’est délicieusement pervers. Mais ici, le filet blanchâtre ne disparaît pas dans une fente de femme. Non, il trouve sur son chemin des couilles sur lesquelles il glisse.
Ces jouissances masculines semblent donner le départ à un autre jeu.
Régis est invité à se coucher. Sa femme vient se saisir de son sexe. Sexe en demi-érection, mais que bientôt, en quelques va-et-vient, elle durcit pour venir s’empaler dessus. En même temps, Agnès vient s’asseoir sur le visage de l’homme. Voici les deux femmes qui se font face. Pendant un instant Agnès me montre son amie se faire du bien sur la bite de son mari. Et puis je sens bien que ma correspondante est moins concentrée. D’ailleurs elle pose son téléphone sur le lit, et je dois me contenter de ce que je vois par le miroir.
Les deux femmes s’embrassent, formant un pont de plaisir. Le plaisir de la femme qui a vu son mari se faire prendre par d’autres et sur lequel, cavalière dominante, elle se bourre. Le plaisir de celle, manifestement organisatrice de ces agapes sexuelles, qui se fait lécher par celui qu’elle dirige.
Tout à coup, j’ai chaud. J’ai envie de me caresser. J’ai eu droit à bien plus qu’une ...