1. Un massage révélateur


    Datte: 06/05/2018, Catégories: 2couples, voisins, fsoumise, hsoumis, Oral hsodo, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... bois, mais de chair qui se livre.
    
    Les seins sont des merveilles de fermeté. On sent la femme qui prend soin d’elle et qui doit procéder chaque jour que Dieu fait à une gymnastique d’entretien de chaque partie du corps.
    
    Le ventre est plat. Je joue avec le nombril alors que plus haut mes deux mains caressent les lobes fermes et mes paumes agacent les mamelons.
    
    Il suffit que je m’agenouille pour qu’elle s’assoie sur la chaise. Ma tête trouve le chemin entre ses cuisses. Pour le reste, il suffit de lui faire tout ce que j’aime qu’on me fasse, avec cette sensibilité que seule une femme peut apporter.
    
    Lorsqu’elle place ses cuisses sur mes épaules, je me sens pousser des ailes.
    
    Lorsque ses mains s’emparent de ma tête, j’ai peur de n’avoir pas su la sucer et lécher comme il fallait. Mais bien vite elle me libère, et je comprends qu’elle me fait confiance. Alors, lorsque sa respiration s’accélère, qu’elle pousse son sexe à ma rencontre, qu’elle gémit et qu’enfin son humidité se transforme en un suintement manifeste, je sais que j’ai gagné.
    
    — Pas mal.
    
    Ce n’est pas terrible comme encouragement, mais le sourire et cette lueur dans son regard complètent largement le jugement.
    
    Au moment de partir, elle me dit :
    
    — À partir de maintenant, tu feras ce que je te dirai. Un SMS, un mail, et tu ...
    ... m’obéis. Déjà pour samedi prochain, réserve ton après-midi : il faut que l’on refasse ta garde-robe. Mais aussi dans la semaine je vais te réserver pour une épilation ; j’ai horreur du laisser-aller. C’est ni fait ni à faire. Tu te fais cela toi-même, c’est évident.
    
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    Chaque soir, je pense qu’elle va venir me rendre visite. Mais non. Est-ce que cela fait partie de sa technique ? Après tout, je ne sais rien de ce type de relation. Sur le Net, on voit de tout. Du plus crade au plus délicat. Heureusement que d’une certaine façon, je suis rassurée par ce que j’ai vu dans leur sous-sol.
    
    Bien sûr, je me suis déjà fait épiler, mais jamais dans ces zones si sensibles. La vache, que c’est douloureux ! La fille connaissait Agnès, mais ce n’est pas ce qui a atténué la douleur. L’humoriste Antonia de Rendinger a très bien décrit la situation, aussi bien la douleur que les positions. La copine d’Agnès, qui devait avoir l’habitude, m’a proposé de faire les photos demandées par ma Maîtresse.
    
    Même si je ne continue pas dans cette relation si particulière, au moins cela m’aura obligée à me faire épiler. C’est vrai que les photos montrent mon pubis, ma chatte et la raie de mes fesses dans de belles couleurs roses.
    
    Mais même cela ne la fait pas venir. La vache… Oh, pardon, Maîtresse ! 
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