Le coup de la panne
Datte: 10/03/2021,
Catégories:
fhh,
extracon,
jardin,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Curiosa, Source: Revebebe
... la tournure des événements. Il lança, en se reculottant :
— Allez, on file à la maison.
Alors moi :
— On y va tous les trois, alors ?
— Non, Anne, ça suffit comme ça.
— Ah c’est un peu simple ! Moi j’ai envie maintenant, si ça te plaît pas rentre, je me débrouillerai seule avec…
— Marc.
Et sans attendre, je lui tendis mes fesses. Il me pénétra, par le con cette fois. J’eus un soupir d’aise, qui mit Cyril hors de lui.
— Fais attention, Anne !
Mais j’étais au-delà de tout raisonnement, et Marc aussi. Il m’avait empoigné les hanches et me bourrait maintenant sans retenue. J’étais juste à bonne hauteur pour lui. Quant à Cyril, quoique ne supportant pas de me voir prendre mon pied comme ça, il n’arrivait pas à se détacher de la scène, et même ça le faisait bander. Il se mit à m’injurier, et en même temps à se branler avec frénésie.
— T’es une vraie salope, une pute Anne ! Tu te fais mettre par le premier venu, comme ça en plein air, au vu de tous !
Moi je ne répondais rien, ni Marc, mais ça allait merveilleusement bien. Et je jouis une nouvelle fois. Mes spasmes firent venir Marc, qui poussa un gémissement rauque en lâchant son foutre. Cyril eut alors la plus belle giclée que je lui eus jamais vue, qui vint polluer ma petite robe.
Nous nous rajustâmes tant bien que mal, Marc partit de son côté après m’avoir embrassée et caressée une dernière fois, et glissé à l’oreille son numéro de portable. Cyril prit le volant pour le petit bout de route jusqu’à ...
... chez nous. Il se taisait, me lançant de temps en temps à la dérobée un regard noir. J’avais une furieuse envie de rire : le fanfaron de sexe paniquait au premier coup de cul. En même temps, il m’attendrissait. Ma main vint se poser sur sa cuisse, pour une tendre caresse, et les mots allaient suivre, quand il explosa :
— Ne me touche pas, sale pute ! Espèce de poufiasse !
— C’est la meilleure ça ! Quand je jouis pas, je suis une bobonne qui a peur du sexe ! Et quand je jouis, je suis une pute. Et toi, quand tu me laisses en rade après m’avoir bien excitée, t’es quoi ? À part une couille molle ? Sauf que pas plus tard qu’il y a une heure, tu me faisais des projets de gang-bangs ! Ah, il a fière allure le big-bang, tiens !
Le reste du parcours se fit en silence. Cyril ne desserra plus les dents, sa conduite était heurtée. Il sortit de la voiture sans un regard, sans venir m’ouvrir la porte comme il le fait toujours. Nous allâmes nous coucher, chacun à un bout du lit. J’attendais qu’il veuille bien me présenter ses excuses. On verrait après. Lui bouillait. J’avais poussé un peu fort en le traitant de couille molle, et il accusait le coup. Mais après m’avoir donné les noms qu’il m’avait donnés, il ne méritait pas mieux.
Le réveil fut glauque. C’est toujours Cyril qui prépare le petit déj. Il n’y manqua pas, mais ce fut fait et surtout avalé comme une punition. Pas un bisou de sa part, pas un mot, juste un « Bon, salut » en partant. Mon lavage de dents eut un goût salé, et ...