Le coup de la panne
Datte: 10/03/2021,
Catégories:
fhh,
extracon,
jardin,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Curiosa, Source: Revebebe
... sait m’amener à la jouissance de façon variée), et qui produisait un effet de répétition lassant.
Il fallait le ramener sur le terrain du réel, et lui redonner un peu plus envie de moi. Je me mis à mettre un peu plus d’audace dans mes vêtements. Rien de trop voyant, mais des décolletés un peu plus généreux, des jupes un rien plus fendues, une robe d’été plus courte. Je m’amusais de voir les regards des hommes s’attarder davantage sur moi : ils sont vraiment simples à mettre en marche. Cyril appréciait, et me disait d’aller plus loin. Mais ça n’avait rien changé à son entrain au lit !
C’est avec la petite robe courte que les choses se sont précipitées. Nous étions allés nous promener, une belle soirée de juin, à la terrasse de …, d’où l’on a un point de vue sublime. Il n’y avait pas grand monde vu l’heure tardive – un couple enlacé sur un banc éloigné, deux joggers qui s’éloignaient en suant, et sur notre gauche, à une dizaine de mètres sur une avancée de la terrasse, un jeune homme de vingt et quelques années. Je m’étais accoudée à la balustrade, le menton dans les mains, ce qui faisait ressortir ma croupe. Cyril me mit la main aux fesses sans prévenir, me glissant à l’oreille :
— Ton cul est à point dans cette position.
Je fus électrisée – ce genre d’audace n’est pas son style, et je fus ravie qu’il abandonne enfin les rodomontades érotiques pour des actes. Je répondis d’un souffle, tout bas :
— Enfile-moi, là tout de suite !
Il m’enleva prestement ma ...
... culotte, sortit sa queue, l’approcha de ma chatte. J’eus soudain envie d’une sodomie.
— Mets-la moi dans le cul !
— C’est bien, en levrette classique…
— Je t’en prie…
Il se mit en devoir de me donner satisfaction. Mais la manœuvre se révéla vite trop hardie pour lui : après quelques tentatives pour forcer mon petit passage, sa queue mollit, et il dut battre en retraite.
— Mais vas-y donc !
— Besoin d’un coup de main ? Ou plutôt de queue ?
C’était le jeune homme sur notre gauche, qui s’était rapproché sans que nous l’ayons vu. Je réagis sans réfléchir :
— Oui, vite !
Il sortit une bite prometteuse, que je pris en main pour l’apprécier d’un bout à l’autre, du gland aux couilles – et la fermeté de l’engin me parut de bon augure. Cyril lui tendit une capote et s’écarta un peu, le souffle court.
— Vas-y, sodomise-moi.
Après m’avoir préparé de son index humidifié de sa salive, puis de ma propre humidité, il me pénétra d’un coup sec, sans hésitation. J’eus un cri – l’intromission est toujours un peu douloureuse quand l’orifice n’a pas été longuement élargi. Mais le plaisir arriva vite, et mon partenaire était vaillant. Tout en me ramonant sans hâte, il me doigtait le clitoris, et je jouis sans retenue, le buste affalé sur la balustrade. Marc, queue ressortie, bandait toujours et me le faisait sentir en appuyant son engin dardé comme au début entre mes deux fesses. C’était une bonne occase.
Cyril aussi bandait, mais manifestement il n’appréciait qu’à moitié ...