1. Une merveilleuse nuit


    Datte: 06/05/2018, Catégories: fh, hplusag, voyage, pénétratio, fsodo, fantastiqu, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... mon sphincter. Je fais le vide dans ma tête, me relâche, me préparant à souffrir mille tortures. Je sens mon cul se dilater sans éprouver de tourments vraiment insupportables. Une gêne, comme parfois aux toilettes. J’attends qu’il continue quand je sens son pubis s’appuyer contre mes fesses. J’ai absorbé son énorme sexe. Je suis à la fois affolée des conséquences possibles, et heureuse d’avoir cet énorme morceau en moi.
    
    Il reste longtemps immobile, mon corps s’habitue à l’intrus qui me transperce. Une main me donne du plaisir par mon bouton. Deux autres doigts s’infiltrent dans mon vagin. Je suis totalement distendue. Et il commence à bouger. Douleur, plaisir, je ne sais plus. Ce doit être cela le masochisme et je comprends que certains y trouvent leur bonheur comme je le ressens en ce moment. Je veux à la fois qu’il s’arrête et qu’il continue à me défoncer. Et puis le bonheur grandit et j’explose d’un plaisir douloureux. Je sens à l’intérieur de moi se déverser sa sève. Il s’est retiré doucement. Mon anus tarde à se refermer. Il me serre dans ses bras et me berce comme un bébé. Je suis bien, puis plus rien.
    
    Un rayon de soleil vient me taquiner la joue. Encore inconsciente, les yeux fermés, je tends le bras pour le retrouver. Je me cogne contre le dossier du siège passager de la voiture. Je me réveille brutalement, je suis dans ma voiture, le soleil est déjà haut, c’était un rêve. Quel dommage !
    
    Ressentant un besoin naturel pressant, je vais dans le champ voisin. ...
    ... Je soulève ma robe et découvre… que j’ai un pantalon en dentelle. D’autre part entre mes fesses, je ressens une douleur sourde. Portant ma main à ma poitrine, plus de soutien-gorge, mais je découvre que j’ai un collier. Je le quitte, l’examine, il est magnifique, lourd avec une médaille sur lequel sont gravés un lion et un dauphin. Le tout en or d’après son poids. D’autre part, je n’ai plus faim, moi qui avais une fringale terrible hier au soir.
    
    Ce n’est pas vrai ! Il est venu me porter jusqu’à ma voiture dans la nuit. J’aurais tant aimé renouveler notre étreinte. Mais je suis en panne et il me faut aller jusqu’au village. À tout hasard, je tire le démarreur de ma voiture et le moteur tourne parfaitement. Bon, je vais jusque chez lui pour le remercier. Un peu plus d’un kilomètre et voila le portail. Tiens, il est refermé. Je descends de voiture afin de l’ouvrir.
    
    Le portail est verrouillé par une grosse chaîne, le tout rouillé profondément. Les piliers sont à moitié écroulés. On ne distingue l’allée qu’avec difficulté tant des herbes et mêmes des arbres y foisonnent. Et au fond, pas de maison, rien. Je me pince pour savoir si je suis bien éveillée. Mais pourtant j’ai de nombreuses preuves que je n’ai pas rêvées. Pas possible, je suis folle.
    
    Je remonte dans ma voiture et file au village voisin afin d’obtenir des renseignements sur cette mystérieuse demeure. Une boutique, à la fois épicerie, café, journaux, tabac, le seul commerce du village. J’entre, la salle est vide. ...
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