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Clichés du fétichiste
Datte: 06/03/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Humour Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... devais selon un plan précis la photographier ainsi assise. A un moment elle procéderait à une sorte de strip- tease. Elle me mettait à l'épreuve me sachant fort vicieuse d'elle. Je devais la prendre sous tous les angles. Pour reprendre son propos, les clichés devaient être expressément bandants. Elle m'en tiendrait rigueur si le programme n'était pas empli. La séance commença. Au début je fus mal à l'aise et malhabile. Elle m’exhorta à un instant d'approcher et de m'accroupir jusqu'à être au niveau du genou. Là elle écarta les cuisses. Elle avait une culotte dont on eût dit qu'elle ne cachait rien de la chatte. La précédente si transparente n'était rien en comparaison. Je ne concevais pas qu'on put produire et vendre de pareils sous-vêtements. C'était pour le dire obscène. Elle passa alors dessus un doigt comme pour exacerber mon érection qui avait depuis longtemps commencé. J’effectuais les premières prises de photos concluantes. Elle croisait et écartait à mesure les cuisses. Poses plus lascives les unes que les autres. Je me prenais au jeu. Paparazzi furieux, je ne voulais négliger nulle miette de ce spectacle. Je la mitraillais et son sourire glorieux manifestait de sa satisfaction que j'appris vite. A un moment elle m'invita d'approcher. Surpris et trahissant ma timidité, elle s'impatienta. Elle cria : « Approche mon lourdaud ! » Lorsque je fus à portée de main, elle porta la sienne sur le renflement ...
... qu'accusait mon alors mon pantalon. « Tu bandes mon chérie. » « Si tu es méritant, tu auras droit à récompense. » La séance reprit. Elle procéda au strip-tease promis. Elle enleva l'un l'autre bas en une lenteur appropriée et quasi religieuse. Cela me nouait la gorge. J'étais par trop émue de voir émerger à mesure tout ce galbe blanc. Cela avait le savoureux et la grâce de la chair d'un coquillage. Ces jolis pieds apparurent avec à leurs embouts, ces ongles nacrés de leur vernis rouge. J'eus voulu les baiser et les lécher. Je fis en sorte d'en immortaliser chaque détail sur la pellicule. Je croyais être au comble. Elle repoussa plus loin le vice jusqu'à retirer prestement sa culotte qui ne cachait rien. Maintenant le soleil rasant à cette heure frappait de son rayon mutin la chatte nue ainsi exhibée. Elle riait d'autant qu'un pêcheur ou un autre voyeur eurent pu munis de jumelles lui reluquer la moule. Enfin elle se tourna sur le siège afin qu'on lui vit entièrement le cul. Celui-ci était massif, cochon à souhait. Elle se dandinait et le remuer à ravir. Celui-ci semblait crier : « Il est à vous. Disposez-en ! » Un mâle plus avisé y eût porté la main voire et y eût glissé un ou deux doigts. Je me contentais en vain de bander et de prendre quelques autres clichés. Elle regarda sa montre et mi-sérieuse s'exclama : »Nous arrivons aux termes du voyage. C'est la séance des récompenses. Approche ! » Là m'approchant pris dans ...