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Clichés du fétichiste
Datte: 06/03/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Humour Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... intérêt à des réunions insipides. Elle en faisait autant quand elle venait en mon bureau. Elle n'y venait pas papoter mais pour bosser. Je n'avais pas le privilège de la faire rire et d'avoir droit à de l'enjouement. D'autres collègues mâles avaient su mériter un tel privilège. Ce qui me mortifiait. Je n'avais droit qu'à des sujets arides où elle tachait souvent de m'humilier. Elle n'avait de cesse de pointer les à peu près de mes rapports et mes fautes d'orthographe. Rongeant mon frein, je ravalais rage et dépit me contentant de regarder fasciné le lent battement de sa jambe et d'un escarpin fébrile au bout du pied. De cette façon elle était assurée de m'amener à une forme d'hypnose. En effet je n'entendais plus ses critiques et ses propos blessants trop occupé au ballet lancinant de la jambe et du pied. Ceux-ci s'étaient du coup rapprochés. Ils s'étaient invités dans l'intimité de mon bureau. Je les pouvais presque toucher et me jeter dessus pour les caresser et les lécher. La douleur mêlée à de la joie en devenait alors intolérable. Au point que je fermais les yeux durant la conversation et qu'elle s'exclamait : »Quelque chose ne va pas ? » Je répondais indéfectiblement : « C'est mon ulcère. » Ajoutons à cela qu'elle allait des fois un peu plus loin. Notamment à la manie de croiser les cuisses, elle pouvait alors les écarter très ostensiblement demeurant ainsi longtemps. Suffisamment pour que je pus y voir ...
... à l'intérieur. Alors je découvrais la qualité et la teneur de sa culotte. On m'avait informé que celle-ci pouvait être des fois osée car transparente. En effet je pus m'aviser un jour que la base de celle-ci l'était. Qu'on lui voyait distinctement le pubis. Je pouvais presque en compter les rares poils. Je maugréais : « Ah la garce ! » Je ne me délectais pas moins de ce spectacle. J'avais dans l'idée qu'elle voulait se venger sur moi de certains hommes. Cependant je trouvais troublant la haine qu'elle pouvait éprouver pour certains porcs tel que moi. Sa résolution ne trahissait-elle pas en même temps une certaine fascination ? Il me brûlait de lui poser la question et qu’elle y répondit loyalement. Nous demeurâmes ainsi deux ans dans ce jeu vain de chat et de souris. J'y perdais le plus souvent et j'aurais été à vrai dire le plus malheureux du monde qu'elle rompit le jeu. De posséder son corps par la seule vue m'était devenu une nécessité et une drogue. Puis il advint qu'un jour elle eût recours à moi pour un service important. Il me fut confirmé qu’elle pouvait d'un coup devenir des plus cyniques. Cette beauté était sans cœur. Elle pouvait s'asseoir sur son amour-propre pour servir tout son intérêt. Elle faisait fi du passé d’humiliations infligées pour d'un coup se radoucir à mon égard et offrir comme une sorte d'ouverture. Je pris d'abord cela tel un caprice sadique. J'y vis un piège. Elle m'attirait au sommet ...