1. Clichés du fétichiste


    Datte: 06/03/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Humour Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... yeux et elle souriait. Tel un
    
    chef d'orchestre économe de gestes elle assurait que la musique simple
    
    et divine émanât de toutes les parties. Je me laissais emporter par sa
    
    sûre main. L'éternité me touchait.
    
    Il était inconcevable que j'évoquas de loin ou de près un passage à
    
    l'hôtel. Ce fut-elle coquinement qui y fit allusion. « Savez-vous la
    
    rumeur qu'on vous attribue de l'habitude d’emmener vos conquêtes à
    
    l'hôtel. » Elle disait cela en un rire désarmant. Elle me signifiait
    
    qu'elle n'en croyait rien me sachant si timide. En fait je pouvais
    
    trouver son sentiment insultant. Elle me châtrait d'une certaine
    
    manière. Etais-je donc un eunuque dont elle n'avait rien à craindre ?
    
    Elle me renvoyait à ma nullité et à mon insignifiance. Elle perçut à ce
    
    moment ma tristesse. Elle me prit par la main.
    
    Je pris ce geste au premier degré et sans équivoque. J'ai l'impression
    
    que nous ne fumes jamais si proches car dans l'empathie. Au retour je
    
    découvris ma parole plus libre. L'éloquence me venait naturellement. Peu
    
    avant d'arriver au bureau je lui balançais tout de go le désir qu'elle
    
    m'avait sans cesse inspiré. Elle me répondit dans le plus grand sang
    
    froid qu'elle était femme et avait deviné tout cela. Tant d'hommes la
    
    convoitaient et ce n'était immodestie de sa part. Être objet sexuel la
    
    lassait des fois. Je me gardais de lui rapporter ses façons provocantes
    
    à mon égard. Elle les eût nié.
    
    Il y eût en l'espace de deux ...
    ... mois trois, quatre autres déjeuner du même
    
    acabit. Enfin elle me révéla qu'elle avait besoin de mon soutien pour
    
    obtenir un poste. Elle me savait grand ami du patron. Mes avis étaient
    
    précieux et suivis. Je pouvais faire infléchir la balance de son côté.
    
    Je fus interloqué mais sus en l'instant le lui cacher. En une seconde
    
    s'éclairait tout le sens de ses démarches. Tout avait été concerté,
    
    prémédité. Je me rappelais que j'en avais eu le soupçon. Depuis elle
    
    m’avait endormi. A présent j'étais réveillé à la cruelle vérité. Je
    
    n'étais qu'une dupe de plus.
    
    J'affectais de bien prendre sa demande. Je lui répondis que je serais
    
    honoré de pouvoir la servir en cette circonstance. Je rentrais cette
    
    fois furieux chez moi. Je dus raconter à ma femme qu'un chef m'avait
    
    passé un savon. Je ruminais sottement une vengeance. Je voyais cependant
    
    que j'avais tout à perdre de m'opposer à cette femme. Je devais entrer
    
    dans son jeu et y trouver moi-même mon intérêt. Je méditais quelques
    
    préceptes taoïstes. Le non-agir et la souplesse sont les plus surs
    
    chemins de la victoire. Je compris qu'il me fallait au moins obtenir
    
    quelque chose d'elle.
    
    Au déjeuner suivant je lui annonçais que j’avais parlé favorablement
    
    d'elle. J'inventais sur le champ un mensonge. « Savez-vous que mon
    
    patron pense que nous avons couché et que je veux favoriser une
    
    maîtresse ? » Elle sursauta. Elle ne s'attendait à un pareil échange
    
    entre le patron et moi. Je ...
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