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Clichés du fétichiste
Datte: 06/03/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Humour Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
Nos relations étaient jusqu'alors compliquées. Il était manifeste que je la désirais et qu'elle le savait. Rien que d'ordinaire dans un contexte de bureau. Il est concevable que se noue ce genre d'intrigue entre des collègues. Dans le contexte actuel il était inopportun que je fus surpris dans une drague lourde. Aussi pris-je un peu de distance avec elle me contentant que de regards et de sourires de loin. Je renonçais à l'idée d'amener dans mon lit cette femme remarquable. Elle m'avait marqué souvent qu'elle était fidèle à son mari et que je ne devais porter crédit à de folles rumeurs sur elle. Ces rumeurs étaient pour partie infondées. Ne dit-on pas qu'on ne prête qu'aux riches ? Une jolie femme suscite envies et jalousies. La calomnie jonche d'épines son chemin. La question demeurait de savoir si en ce fatras de fables, ne survivait pas une once de vrai et que notamment des collègues heureux avaient pu obtenir quelquefois ses faveurs. Ce sentiment fondait sûrement une part de mon amertume. Cela ponctuait d'irritation beaucoup de mon humeur à son égard. Elle le percevait et en jouait. Agitant devant moi ce chiffon rouge. J'étais malheureux qu’elle fut coquette à un point. Elle était nantie de jambes remarquables. Elle ne dédaignait pas de les mettre le plus souvent en valeur portant des jupes relativement courtes pour le plus grand bonheur de mateurs comme moi. Je ne pouvais concevoir qu'une femme de cet ...
... acabit ne sus quels trouble et bouleversement elle suscitait autour d'elle et dans le regard des hommes. J'avais la faiblesse de croire que loin de l'offusquer ces silencieux hommages au contraire la touchaient et la flattaient. A bon droit elle pouvait se targuer ensuite d'être fidèle se contentant du jeu supposé innocent d'allumer. Un jour devant la machine à café sur un mode ironique je fis passer le message que je trouvais facile et lâche qu'une femme se contenta d'allumer sans passer jamais le Rubicond. Je trouvais par trop sadique d'exciter un homme sans vouloir le contenter. Elle prit fort justement l'allusion pour elle et ne m'en provoqua que plus. Elle affichait par là son mépris pour mes velléités de révolte. Je devais me contenter d'un rang minable de soupirant et de voyeur. Je n'obtiendrais pas davantage devant être trop heureux qu'elle condescendit à m'associer quelquefois à ses jeux. Je me le tins pour dit. Aux rares réunions de service, je ne m'en positionnais pas moins en face d'elle. Je faisais mille efforts pour conserver ma contenance face à ses cuisses croisées et pour lesquelles on décelait la chair blanche et unique dessinée au-dessus du bas. Les autres mâles n'étaient pas en reste qui savouraient aussi le spectacle. Ses narines frémissantes attestaient que peut-être se réjouissait-elle que les queues de ces messieurs se durcissâssent pour elle. Cet ingrédient conférant le seul charme et à ...