1. La belle-soeur de mon copain


    Datte: 05/03/2021, Catégories: fh, couple, voisins, copains, campagne, amour, pénétratio, init, Auteur: Alaiko, Source: Revebebe

    ... l’étable. Marie est là ; elle trie le linge pour le mettre dans la machine. J’offre un café, elle accepte. Elle rougit.
    
    — Pierre, c’est normal ? Il n’y a pas de sous-vêtements. Tu les laves à part ?
    — Non, je n’en porte pas, je marmonne.
    — Remarque, j’ai senti que ta baguette était libre sous ton pantalon, chez Dédé.
    
    Je suis piégé !
    
    Le repas se passe bien. Marie, petit bout de femme un peu forte au niveau du bassin et des cuisses, porte un pantalon, un pull, une veste de laine ; je pense qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Son visage est agréable : des yeux verts, un petit nez, des joues assez creuses, des lèvres dont le bord est un peu retourné vers l’extérieur donnent de la personnalité. Aucune trace de maquillage : elle ne cherche pas à plaire en mettant son physique en évidence. C’est une femme simple, travailleuse ; ses doigts en portent la trace.
    
    Moi, j’ai ma combinaison de travail.
    
    Elle me sert le café, debout à côté de moi.
    
    — Pierre, tu me surprends. Tu n’as pas hurlé après moi quand j’ai mal donné les fils ; j’ai vu avec quelle douceur tu as écarté les vaches, et ma stagiaire a été satisfaite de travailler pour toi : jamais de réflexions, toujours un petit mot agréable. Ton ex avait de la chance d’avoir une personne comme toi ; si la relation des corps était du même type, cela devait être agréable.
    — Non, pas de relations : pour avoir du plaisir, il faut apprécier l’autre.
    
    Marie relève son pull ; sur son ventre, plusieurs cicatrices.
    
    — ...
    ... Regarde, Pierre : voilà ce que j’ai gardé de mon ex ; sa vision de l’amour des corps.
    
    Je reste un instant sans voix. Je ne résiste pas ; ma main effleure cette chair meurtrie, je la caresse. Marie me laisse faire ; je sens un peu de chaleur qui se dégage entre mes doigts. Elle s’assoit sur mes genoux. Mon autre main se faufile sous son pull et je parcours ses reins.
    
    Marie fait glisser les fermetures de mon habit de travail, ses doigts se posent sur ma poitrine.
    
    Nos lèvres entre en contact, nos langues se cherchent, s’enroulent, elle me tire au fond de sa bouche. Pendant un long moment ce sont des caresses, des baisers ; le café ne sera jamais bu.
    
    La tendresse parcourt nos corps, chacun trouve du plaisir. Je relève son pull ; ses deux seins viennent se frotter sur la pilosité de mon torse, nous apprécions la douceur du contact.
    
    Le téléphone sonne : le chauffeur de la laiterie m’annonce qu’il ne viendra pas, trop de neige. Surprise : en effet, il y en a plus de 20 cm, et il est déjà 16 h !
    
    — Marie, tu ne vas pas pouvoir repartir…
    — Pierre, tu m’offres le gîte ?
    — Avec plaisir. Je vais aller faire mon travail ; j’en ai pour trois heures.
    — OK ; j’avertis ma sœur que je ne rentre pas. Je viens t’aider.
    
    Avec le tracteur, je fais la trace pour aller à l’étable ; j’ai donné à Marie une blouse de mon ex. À partir de cet instant, tout va changer.
    
    Dans la salle de traite, je lave le pis des vaches, je fais la traite, puis je mets la crème sur les trayons pour ...
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