La belle-soeur de mon copain
Datte: 05/03/2021,
Catégories:
fh,
couple,
voisins,
copains,
campagne,
amour,
pénétratio,
init,
Auteur: Alaiko, Source: Revebebe
... l’échancrure de ses seins ; je pense qu’ils doivent bouger. Un mouvement de ses épaules indique la remise en place.
Une fois les fils passés, il me reste à faire le branchement. Je passe dans l’étable. Deux vaches me bloquent le passage ; je leur caresse la tête, elles partent.
Marie nous quitte. Nos regards se croisent ; la rougeur revient sur ses pommettes.
Le travail terminé, Paul m’invite à prendre le café, payer le travail. Marie sert le café, reste debout près de l’évier, écoute notre conversation, n’y prend pas part.
— Pierre, ça ne doit pas être facile pour toi depuis le départ de ton ex.
— Dédé, j’assure ; par contre, les tâches ménagères passent au rang de l’oubli. La lessive, faire à manger, je le fais. Par contre, le ménage est un peu bâclé.
— Pierre, il faut prendre une aide ménagère ; demande à Marie, elle s’occupe de ça ; cela te libérera un peu, le temps de te refaire.
Marie m’explique la démarche. Je lui donne mon accord pour me trouver une personne puis je prends congé ; je discerne sa gêne lorsque je lui tends la main. Je ne comprends pas ce qui a changé en elle.
Quelques jours après, Marie désire me présenter une personne, une jeune stagiaire ; elle viendra une fois par semaine durant sa formation. Elle me remercie de mon accueil, me serre la main, mais elle me semble préoccupée, troublée.
Par la suite, j’aurai plusieurs fois sa visite ; rapide, courtoise, mais je remarque qu’elle s’intéresse beaucoup à mon travail. Elle a plaisir ...
... à discuter avec moi mais semble peinée à chaque départ.
À la fin du stage, Marie ne trouve personne pour remplacer mon aide ; elle m’indique qu’elle fera l’intérim ! Oui, c’est rusé de sa part : elle a bien préparé la succession.
Le premier jour, je lui tends la main ; elle me fait la bise, rougit, se défile. Je reste baba. Marie me propose de venir deux fois par semaine, le mercredi et le samedi, car elle trouve qu’il y a beaucoup à faire. Le samedi, ce sera à titre gracieux ; comme j’aide son beau-frère sans me faire payer, un service en vaut un autre. J’accepte, elle doit avoir raison.
Nous décidons de nous tutoyer, nous appartenons à la même génération.
Nous sommes au cœur de l’hiver ; la neige est présente. Un samedi, je fais ma comptabilité sur l’ordinateur ; il est 9 heures. Elle arrive, s’avance ; une bise, puis se met au travail.
— Marie, tu restes toute la journée ?
— J’irai manger. Il y a beaucoup à faire : je reviendrai l’après-midi.
— Le temps n’est pas beau. Tu ne vas pas faire 50 km pour aller déjeuner ; tu peux manger avec moi. Je te laisse faire la cuisine.
— Pierre, j’apprécie ton offre. J’accepte.
Lorsqu’elle répond, je constate que ses yeux brillent ; ses joues sont rouges. Émotion, ou satisfaction de passer un moment avec moi ?
Vers les 16 heures Marie me quitte, me précisant qu’elle reviendra le lendemain pour faire le linge, elle ne peut pas ce soir.« Oh ! Elle vient de trouver une astuce pour revenir demain… »
Je reviens de ...