La belle-soeur de mon copain
Datte: 05/03/2021,
Catégories:
fh,
couple,
voisins,
copains,
campagne,
amour,
pénétratio,
init,
Auteur: Alaiko, Source: Revebebe
... éviter les infections genre mammite ; Marie me propose de le faire. Je bande de la voir masser avec douceur : ma queue aimerait bien cette faveur…
L’alimentation en foin est faite ; je continue comme à mon habitude : lavage, brossage des vaches. Marie est dans l’allée, au cul des bêtes, et avance comme moi, regardant tout.
— Pourquoi tu les laves et tu les brosses chaque jour ?
— Le lavage évite les contaminations par les souillures de bouses et permet de vérifier s’il n’y a pas d’infection, genre inflammation. Le brossage : élimination du stress, complicité. Mais il y a aussi le parage des pieds pour éviter les boiteries. Une bonne santé et de l’hygiène produisent un lait de qualité, des frais vétérinaires limités.
— Ton ex n’était pas jalouse de te voir tripoter les vulves des vaches ?
— Non, c’est elle qui le faisait. J’ai pris la relève.
— Découverte, pour toi ?
— Non. Lors des vêlages, c’est bien moi qui assiste ; cela n’a rien d’exceptionnel dans mon métier. Si tout avait été partagé, je ne serais pas seul.
Nous sortons de l’étable ; encore 10 cm de neige en plus. Je refais la trace avec le tracteur ; heureusement que sa voiture est sous le hangar.
Je prends ma douche puis enfile un pantalon treillis et un pull. Marie prépare le repas ; je lui indique que la douche est libre. Elle en profite de suite.
La cheminée est allumée, je remets des bûches. Au moment où je me relève, sa main se glisse dans la mienne. Je me retourne ; Marie se colle contre ...
... moi, nos lèvres se cherchent, nos langues ne font qu’une. Mes doigts parcourent sa petite chevelure, ses jambes se glissent entre les miennes, ses mains sont sur mes hanches, se faufilent sous mon pull. Elle le remonte ; je me recule un peu pour finir l’extraction.
La fermeture de son chandail est défaite ; je le dégage de ses épaules. Ses seins viennent sur ma poitrine, ma bouche descend, passe dans l’échancrure, ma main en prend un, belle aubergine, petit, long. Mes lèvres se posent sur le téton. Je suce, ma langue excite le bout. Popaul se dresse, mes pruneaux se mettent en mouvement.
Des petits gémissements de sa part : elle y trouve du plaisir. Je la place devant moi. Mes mains caressent ses mamelons. Sa tête vient en arrière, elle m’offre ses lèvres.
Son dos est chaud ; mes doigts s’aventurent plus bas sur son ventre. Je caresse la partie qui est meurtrie, nos langues s’unissent, ses mains parcourent mes cuisses. Marie vient derrière moi, ses seins me communiquent une douce chaleur dans mon dos. Je sens ma braguette qui s’ouvre ; une main se glisse… Surprise : elle ne cherche pas le bâton, mais les bourses. J’adore. Là, elle me fait un long massage ; par contre, elle fait sauter le bouton du pantalon : je suis nu, les couilles tenues par ses deux mains.
Oh ! Je sens la chaleur de ses cuisses contre les miennes, je n’ai même pas compris qu’elle avait ôté son froc.
Je me retourne : magnifique toison, le triangle est important. Marie est assez bien pourvue en ...