La belle-soeur de mon copain
Datte: 05/03/2021,
Catégories:
fh,
couple,
voisins,
copains,
campagne,
amour,
pénétratio,
init,
Auteur: Alaiko, Source: Revebebe
J’habite dans le centre de la France, sur un haut plateau. La vie est difficile ; les hivers sont rigoureux, le travail dans une ferme n’est pas de tout repos. Nous sommes en couple ; nous élevons des vaches laitières, des veaux. Pas de voisin en dehors de la période estivale : le plus proche copain possède une exploitation située à 25 km.
Ma femme vient de me quitter : elle ne supportait pas la solitude, nos relations conjugales étaient inexistantes depuis plusieurs mois. La faute était commune, chacun restait sur ses positions, on ne se comprenait plus. Je me retrouve maintenant seul à mon travail.
Un jour, mon copain me demande de passer chez lui : il a un souci électrique dans sa salle de traite, c’est urgent. Comme j’ai de bonnes notions, il compte sur moi.
J’arrive chez lui. Il m’indique que Joëlle, sa femme, est partie faire des courses, puis il ajoute :
— Je te présente Marie, ma belle-sœur, qui est parmi nous depuis six mois. Tu es au courant, je suppose ; les langues parlent.
— Non, Dédé, j’ai eu assez à faire avec mon divorce.
— Marie se trouvait dans une situation inconfortable ; avec Joëlle, nous avons décidé de lui donner le gîte pendant quelque temps afin qu’elle ne perde pas son travail, de se refaire une santé.
Je ne réponds pas à son explication, je n’aime pas entrer dans les histoires de couples. Nous partons à la salle de traite.
Je détecte la panne ; je dois refaire un morceau de l’alimentation d’un moteur, c’est la cause de ...
... l’incident. Pour passer les fils, il faut être trois : une personne dans l’autre bâtiment pour attraper les fils, une personne pour me les donner, le travail pour moi se situant en hauteur sur un escabeau, dans un coin de la salle de traite. Sinon nous procéderons en deux étapes. Dédé décide d’aller chercher sa belle-sœur pour gagner du temps.
J’ai ma combinaison de travail ; je ne porte pas de sous-vêtements, c’est mon habitude. Marie est au pied de l’escabeau, elle guide les fils à la sortie de leur boîte ; ceux-ci passent entre mes jambes. À cause de l’étroitesse du recoin – juste la place de mettre l’escabeau – ils me frôlent la bite. Je les enfile dans le tube situé au niveau de ma tête. Dédé, dans l’étable, les récupère afin de les brancher au tableau général.
Le visage de Marie est au niveau de mes fesses.
Les fils sortent de la boîte en spirale. Soudain, l’un d’eux s’enroule autour de son poignet. Je tire un peu ; sa main remonte sur mon zob. Dédé, ne sachant pas ce qu’il arrive, continue de les ramener vers lui, provocant le blocage de la main de Marie sur ma bite. Marie lâche les boîtes et passe son autre main pour dégager son poignet ; elle touche ma partie intime. Un peu de panique de sa part ; il lui faut du temps pour dégager sa main. Elle m’assure une belle caresse, y compris sur les testicules. Ma queue se développe.
Je me retourne. Marie voit la grosseur le long de ma cuisse ; elle rougit.
— Excusez-moi !
— Ce n’est rien, cela arrive.
Vue directe sur ...