Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (3)
Datte: 26/02/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... matin, n’avait même pas pensé à me souhaiter mon anniversaire.
Plongée dans mes pensées moroses, penchée sur l’évier, je n’avais pas entendu N. entrer dans mon dos dans la cuisine. Effarouchée, j’ai senti N me prendre par l'épaule, je frissonnais et me tétanisais instantanément. Pantelante, je me retournais vers lui.
Je savais ce qui m’attendait. J’étais à la fois résignée et insatiable de ces étreintes brutales que j’acceptais et, pire, j’attendais chaque soir.
Les mains de N me caressèrent doucement les bras, je me retournais lentement et me blottit contre son épaule. Les mains de N s'égaraient maintenant sur mon corps.
Frémissante, je sentis qu’il me prenait à la taille, immédiatement je sentis mes tétons se durcir, alors qu'il avait ouvert mon chemisier. Ses mains étaient déjà sur mes seins. N me retourna, tout en me caressant lentement les seins.
N vit que mes yeux étaient rouges. Je posais ma tête sur son torse et pleurais longuement.
• Qu’y-a-t-il Olga ? Pourquoi pleures-tu ?
• Mon chéri, c’est mon anniversaire aujourd’hui. Tu n’y as pas pensé. Et mes enfants me manquent terriblement.
• Je suis désolé, j’ai oublié, j’ai beaucoup de travail en ce moment. Allons, ne pleure plus, tu n’es plus une enfant, Olga ! Dis-moi ce dont tu as envie, ma puce. Tu es à moi désormais !
Ca sonnait faux, mais c’était la première fois depuis des semaines qu’il montrait enfin un peu de tendresse à mon égard.
Je levais la tête et nos lèvres s’effleurèrent. Il ...
... posa ses mains sur mes fesses et tandis que nous nous enlacions, N passa la main sous ma jupe, en direction de ma petite chatte qu’il caressa longtemps. De son côté, N bandait de façon impressionnante.
Comme toujours dans ces cas-là, j’avais une envie folle de lui, je ne pensais à rien d’autre qu’à me faire baiser par lui.
Je haletais sous l'effet de l'excitation, il finit d’enlever mon chemisier et extirpa mon corsage de la ceinture de ma jupe. Sous ses caresses expertes, mes seins se redressaient, les mamelons dardaient. Je roucoulais de plaisir, oubliant tout, ne pensant plus qu’aux caresses de mon amant.
• N, je t’aime. Fais-moi un enfant. C’est le bon jour, je crois !
• Pour ton anniversaire, je vais te féconder, Olga. Tu es ma femme désormais !
Nous étions tous les deux comme des bêtes, n’attendant qu’une chose : une jouissance immense!
Je gémissais lorsque ses doigts atteignirent ma féminité et qu’il commença à me doigter. Je frissonnais longuement, toute proche de l'orgasme tant désiré.
J’enlaçais N et, inclinant la tête, nous avons échangé un baiser passionné. Il me prit alors dans ses bras et m'emmena dans la chambre.
J’étais nue désormais. Il m’allongea sur le lit. Il m’embrassait et peu à peu descendit vers mon minou. Sa langue caressa doucement mon clito. Mes sanglots se transformèrent en petits cris de plaisirs.
N sentit que j’étais bien échauffée. Sa bouche quitta ma chatte. Sa bite était prête à exploser et n’attendait qu’une chose, ...