Nadine, la vengeance d'une maman (26)
Datte: 24/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: rorschach2.0, Source: Xstory
... crique, comme l’autre fois ?
— On verra bien… peut-être plus tard… qui sait !
Cette façon qu’elle avait de me provoquer avec son air de ne pas y toucher m’excitait d’une façon incroyable. Elle a fait la planche, a barboté un moment, mais elle s’est vite lassée, m’a annoncé qu’elle retournait sur la plage. Je l’ai suppliée de rester avec moi.
— Mais enfin, Maxime, tu es bien placé pour savoir que je ne supporte pas le soleil, tu ne crois pas ? Arrête un peu de te comporter comme un enfant gâté… Je vais mettre de la crème et je reviens.
Elle est sortie de l’eau. J’ai remarqué que tous les mâles la reluquaient avec envie, s’en mettaient plein la vue. J’étais le seul à profiter de son corps, le seul à qui elle offrait son cul ; mon bonheur était parfait. Elle est revenue, luisante d’huile solaire, s’est approchée en me souriant. Seules nos têtes dépassaient hors de l’eau. Elle se tenait si près que je n’ai pas pu m’empêcher de lui toucher le sexe.
— Pas ici, veux-tu bien ! Il y a du monde, voyons ! Tu ne penses qu’à ça, ma parole… tu as le vice dans la peau, sale petit cochon !
Elle me sermonnait sur le ton d’une mère excédée qui s’adresse à son petit garçon turbulent. Elle me rendait fou.
— Allez Maman, viens, accroche-toi, on va faire un tour.
Elle a passé son bras autour de mon cou, et je l’ai entrainée en direction de la petite crique en question. J’ai nagé, jusqu’à ce que j’aperçoive la grande bâtisse blanche. Je me suis demandé ce que devenait le ...
... garçon qui y habitait. Etait-il parvenu à baiser sa mère comme il le souhaitait ? Maman m’a retenu quand nous sommes arrivés sous la maison.
— Non, reste ici, nous avons pied… Baise-moi, Maxime… baise-moi ici, mon chéri, j’en meure d’envie.
Elle avait les lèvres humides, les yeux dilatés. Elle ne mentait pas, elle était vraiment excitée. J’ai écarté son maillot sur le côté, rabattu le mien sous mes couilles, et j’ai guidé ma queue d’une main. C’est beaucoup plus difficile qu’on ne l’imagine de baiser quand on est immergé, impossible de rester longtemps stable, de coordonner correctement les mouvements. C’est pourquoi j’ai été fier quand Maman a poussé son fameux cri qui m’indiquait qu’elle avait joui.
Nous sommes repartis par la mer, pas par les rochers comme l’autre fois. Nous nous sommes mutuellement enduits de crème solaire, avons somnolé sur nos serviettes de bain. Parfois, nos doigts se frôlaient et elle serrait brièvement ma main dans la sienne, avant de repiquer du nez. Quand nous sommes sortis de notre torpeur, le soleil était au zénith, la chaleur plus insupportable que jamais.
Nous avons déjeuné dans la paillote où j’avais discuté avec le garçon auquel je n’arrêtais pas de penser. Je voulais le revoir, pour une raison qui m’échappait. Nous avons commandé le plat du jour, à l’abri du soleil sous un parasol. Maman était radieuse, épanouie. Notre petite séance de baise aquatique l’avait comblée.
En faisait abstraction de la différence d’âge et de nos traits ...