Nadine, la vengeance d'une maman (26) - Histoires de Sexe

Nadine, la vengeance d'une maman (26)

... d’ameuter le quartier ; je l’ai bâillonnée pour étouffer ses cris, l’ai saccagée debout. Nous avons partagé un moment d’une intensité rare. Quelque chose d’unique, de magique. J’avais l’impression de communier avec ce géant de la nature, au pied duquel nous rendions le plus bel hommage en nous livrant à notre coït animal.

Le lendemain, je suis allé retrouver ma mère dans son lit. Nous avions décidé de ne plus passer nos nuits ensemble, afin de récupérer de nos folles journées, pour que notre désir ne s’émousse pas, mais j’avais toujours autant envie d’elle au réveil, et elle me le rendait bien.

Je lui ai grimpé dessus. J’ai remué sur elle, écarté ses cuisses avec mes genoux pour la pénétrer. Elle m’a repoussé, a marmonné qu’il faisait trop chaud pour faire des cochonneries. Elle a vu que j’étais contrarié par son refus, alors elle m’a proposé d’aller à la plage, et ma bonne humeur est revenue comme elle était partie. L’idée de la voir s’exhiber à moitié nue devant un large public me réjouissait.

Comme je m’y attendais, la plage était autrement plus bondée que quand nous étions venus au printemps dernier. Mais la différence, la grande nouveauté, c’était que Maman ne faisait plus sa mijaurée. Elle assumait pleinement ses courbes prononcées, ses formes pulpeuses que son maillot une pièce, très échancré, dévoilait de façon scandaleuse.

— Tu ne m’avais pas dit que tu avais un nouveau maillot… Tu es vraiment une petite cachotière, Maman !

— Je voulais te faire la ...

... surprise, mon chéri. Je l’ai acheté pour toi, pour te faire plaisir, mais je n’avais pas remarqué qu’il me moulait autant ! Dis-moi la vérité, je ne suis pas trop indécente là-dedans ?

Nous murmurions, tout près l’un de l’autre, ne voulions pas que les gens autour entendent notre conversation. Comme je l’avais pressenti, elle ne m’avait pas proposé cette sortie pour qu’on se rafraichisse, mais bien pour se pavaner presque à poil devant le plus de monde possible. Dire que c’est moi qui l’avais rendue aussi salope que ça ! Je n’en revenais pas.

— Oh, Maman, si tu te voyais… tu es encore plus excitante que si tu étais toute nue !

— Ne dis pas ça, vilain garçon, tu sais très bien que ça me gêne… Tu vas me mettre mal à l’aise.

— A d’autres, menteuse… Tu vas les faire tellement bander, les mecs, qu’ils vont tous être obligés de se cacher !

Son sourire éclatant m’a prouvé que j’étais dans le vrai, que c’était bien son objectif premier. Nous sommes allés nous baigner bras dessus bras dessous, avons poussé des petits cris en sautillant sur le sable brûlant qui nous rôtissait la plante des pieds. Elle est entrée dans l’eau, s’est aussitôt mise à nager vers le large.

— Attention Maman, ne t’éloigne pas trop du rivage.

— Ne t’en fais pas, mon chéri… et puis je sais que je peux compter sur toi si jamais je me noie.

Sa remarque, pleine de sous-entendus, m’a fait frissonné. J’ai plongé pour dissimuler ma queue qui durcissait.

— Tu veux qu’on retourne dans la petite ...