1. Nadine, la vengeance d'une maman (26)


    Datte: 24/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: rorschach2.0, Source: Xstory

    Après le départ de mon père, nous avons perdu nos repères. Livrés à nous-mêmes, nous n’avions plus de barrières. Nous passions nos journées au lit, remettions le couvert la nuit. Rien ne pouvait calmer la frénésie sexuelle qui s’était emparée de ma mère. Je la baisais tout le temps, dans toutes les pièces de l’appartement, dans les positions les plus bestiales. Elle n’en avait jamais assez, en redemandait sans arrêt. Au bout d’une semaine nous étions lessivés, épuisés par nos innombrables excès.
    
    Quand j’ai annoncé à Maman que j’avais eu mon bac du premier coup, elle m’a invité dans un grand restaurant. Nous sommes entrés dans l’établissement en nous tenant par la taille. Comme je lui ressemble beaucoup, il ne faut pas être fin limier pour deviner que je suis son fils. Certains clients s’interrogeaient, d’autres jasaient ouvertement.
    
    A la fin du repas, je lui ai demandé d’enlever sa culotte, par provocation ; je savais qu’elle était incapable de me dire non. Elle m’avait même permis de la baiser – la sodomiser, pour être plus précis – le jour où mon père était venu récupérer ses affaires ; preuve par excellence qu’elle m’était soumise en toute circonstance.
    
    Il ne faut pas oublier que j’avais dix-huit ans, qu’à cet âge on se lasse vite de tout ; or je venais de passer une semaine entière à faire avec ma mère tout ce qu’un homme peut attendre de sa partenaire. Ce défi que je lui lançais tombait par conséquent à point nommé. J’étais impatient de voir si cette fois encore ...
    ... elle m’obéirait.
    
    Elle a piqué un fard, m’a dévisagé comme si j’étais devenu cinglé, a tergiversé mais a fini par céder. Elle s’est doucement contorsionnée sur sa chaise, s’est déculottée l’air de rien les yeux plantés dans les miens. Elle a tendu le bras sous la table, a déposé sa culotte dans ma main. Je l’ai regardée bouche bée.
    
    Nous avons bu un dernier verre – mojito pour Maman, demi de bière pour moi – avant de régler l’addition. Nous avons traversé le restaurant main dans la main. Juste avant de sortir, elle s’est soudain jetée sur moi, m’a fougueusement embrassé, sous le regard outré de ceux qui nous avaient percés à jour.
    
    J’étais stupéfait par son audace, par l’aisance avec laquelle elle se donnait en spectacle, alors qu’elle était toujours si effacée, si pudique en publique. Nous venions de trouver le moyen – un parmi tant d’autres - de donner un coup de fouet à notre relation qui s’enlisait dans la répétition. Nous avions réalisé - sans nous consulter - que notre couple était condamné à évoluer s’il ne voulait pas mourir asphyxié.
    
    Le lendemain, je lui ai proposé d’aller au cinéma. J’ai choisi le plus gros navet, le film le moins susceptible d’attirer des spectateurs. Nous avons pénétré dans une salle clairsemée, nous sommes installés au dernier rang. Nous avons passé la séance à nous rouler des pelles, à nous peloter comme des lycéens morts de faim, sans nous sentir un seul instant concernés par ce qui se passait sur l’écran. Nous savions que nous étions ...
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