1. Nadine, la vengeance d'une maman (26)


    Datte: 24/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: rorschach2.0, Source: Xstory

    ... observés, et c’était précisément la raison de notre présence, le frisson que nous recherchions.
    
    Nous repoussions nos limites, découvrions de nouvelles sensations. Un jour, j’ai sommé ma mère de me sucer, alors que nous étions garés sur le parking de notre supermarché (s’était-elle garée à l’écart parce qu’elle avait des envies elle aussi ?). Elle a balayé les alentours d’un air inquiet, a hésité. Nous n’étions plus d’anonymes spectateurs dans le noir cette fois, n’importe qui pouvait nous surprendre, nous reconnaître. Elle s’est penchée sur moi, m’a lancé un regard fiévreux, m’a voracement englouti la queue. Elle était si pressée d’en finir avant même de commencer, si gloutonne que j’ai vite éjaculé dans sa bouche. Elle s’est recoiffée avec les doigts en se redressant, s’est esclaffée quand elle a vu que je remettais ma bite dans mon pantalon précipitamment.
    
    Je lui ai rendu la politesse sur le chemin du retour, recroquevillé au pied du siège passager. J’ai dû batailler dur pour rabattre sa culotte sur ses cuisses, mais après elle a eu un mal fou à conserver la bonne distance de sécurité alors que nous étions coincés dans un bouchon. Une fourgonnette nous a dépassés dans la file d’à côté. Le conducteur nous a regardé du haut de sa cabine. Maman a remarqué qu’il n’en perdait pas une miette, m’a demandé de m’arrêter, affolée de se savoir observée. J’avais réveillé en elle une réelle disposition à l’exhibition, mais c’était la première fois qu’elle en subissait ...
    ... directement les conséquences.
    
    Je ne l’ai pas écoutée, ai continué à lui dévorer la chatte, me suis empiffré sous l’œil gourmand de notre voyeur qui n’en demandait probablement pas tant. Elle a joui en criant, les mains agrippées au volant. Je me suis rassis en m’essuyant la bouche ; le livreur s’est passé la langue sur les lèvres d’un air concupiscent. J’ai vu dans son regard qu’il m’enviait, qu’il aurait tout donné pour être à ma place. Nous nous sommes souri. Le sien était désabusé.
    
    Un soir, nous avons attendu qu’il fasse nuit avant de sortir. L’air était irrespirable, surchargé d’humidité ; nous suions abondamment. J’avais insisté pour que Maman ne porte pas de sous-vêtements. Je voulais qu’elle se promène les seins libres, le cul nu.
    
    Nous nous sommes éloignés de notre quartier, avons longtemps déambulé avant de pénétrer dans un parc. J’ai aperçu, au loin, quelqu’un qui venait dans notre direction. J’ai glissé ma main sous sa robe, palpé ses fesses moites ; elle a gigoté pour échapper à mes doigts qui lui fouillaient la raie. Quand le promeneur est arrivé à notre hauteur, nous avons pouffé devant son regard réprobateur.
    
    Nous avons quitté le sentier balisé, nous sommes dirigés vers un cèdre du Liban imposant qui trônait en contrebas. Maman a enlacé son tronc de toute l’amplitude de ses bras. Elle a creusé les reins, soulevé sa robe, fait saillir sa croupe ; elle en voulait vraiment.
    
    Je l’ai enfilée d’un coup, les genoux fléchis. Elle a hurlé de plaisir, au risque ...
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