L'impromptu du Bois d'Amour (1)
Datte: 23/02/2021,
Catégories:
f,
ff,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
jeu,
attache,
baillon,
yeuxbandés,
fsoumisaf,
Auteur: Polyphème, Source: Revebebe
... le lit, la roula en boule et l’approcha du visage de Corinne.
— Ouvrez.
Machinalement, Corinne ouvrit la bouche ; Sylvie lui fourra cette deuxième culotte à l’intérieur et maintint le tout avec le foulard. Elle délia les jambes de Corinne, l’aida à se lever puis lui retira ses menottes qu’elle remplaça par une cordelette de soie. Elle fouilla dans son sac et en tira un long morceau de corde qu’elle passa autour de sa taille et qu’elle noua solidement à l’arrière, laissant deux bouts à peu près égaux.
— Écartez les jambes…
Elle fit passer la corde entre ses fesses et tira doucement jusqu’à atteindre les plis de sa chatte. Corinne gémit dans son bâillon
— Allons faire un tour sur le balcon.
Les yeux de Corinne s’écarquillèrent. Elle remua frénétiquement la tête en signe de protestation.
— Ne m’avez-vous pas dit que vous y avez fait du bronzage intégral ?
Elle tira légèrement sur la corde et Corinne étouffa un petit cri en se trémoussant.
— Remuez-vous un peu !
Elle tira de nouveau et Corinne, une fois encore, se tortilla en gémissant avant de se décider à avancer. Sylvie déambula d’abord dans l’appartement en chantonnant. Sylvie maintenait la pression sur la corde, contraignant sa prisonnière à la suivre au plus près, stimulée par le frottement de la corde dans son endroit le plus sensible et qui, bien qu’inquiète, y prenait un certain plaisir – un plaisir certain et embarrassé. Lorsque Sylvie s’arrêtait une seconde, Corinne se haussait sur la ...
... pointe des pieds pour soulager la pression de la corde sur sa chatte.
Enfin elles atteignirent le balcon inondé de soleil. Corinne avait beau savoir que personne ne pouvait la voir, elle se raidit à l’entrée de la porte-fenêtre. Sylvie tira d’un coup sec et Corinne écarquilla les yeux en poussant une légère plainte.
Juste au milieu de la terrasse, en plein soleil, Sylvie avait retourné une table de balcon sur laquelle elle avait étendu des coussins et une serviette. Corinne se détendit : non, personne ne la verrait… Sylvie lui retira les menottes, lui tendit les bras en arrière et les lia ensemble avec une longue corde dédoublée. Elle la fit s’allonger sur le dos et lui attacha les chevilles à deux des pieds de la table dans une position plus qu’osée : non seulement Corinne se laissait faire, mais son regard brillait de plaisir. C’est ceci qui fit sourire Sylvie…
— Eh bien, on dirait que vous commencez à apprécier !
Le gémissement qui filtra du bâillon apparut comme une approbation. Sylvie lui fit lever les reins et glissa la double corde de ses mains sous ses fesses. Corinne gémit lorsque le coton pénétra sa chatte. Ce contact, cette caresse, qu’elle ne connaissait pas deux heures auparavant l’électrisait au plus haut point. Elle attacha la corde aux deux autres pieds de la table.
— Je vous explique le principe ? ironisa Sylvie. Si vous repliez les bras, la corde se tend et vous la faite rentrer dans votre… vous voyez ce que je veux dire. Mais soyez rassurée, je ...