1. L'impromptu du Bois d'Amour (1)


    Datte: 23/02/2021, Catégories: f, ff, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral fdanus, jouet, jeu, attache, baillon, yeuxbandés, fsoumisaf, Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... l’agence à dix-huit heures ce soir, sinon je serai là lundi à huit heures. Voilà.
    
    Comme madame Le G*** ne la rappelait pas, Corinne essaya par trois fois de la joindre. En vain. Elle ferma le bureau à dix-huit heures cinq et rentra un peu tristement chez elle.
    
    Le week-end fut gris et pluvieux et elle eut du mal à garder sa patience avec ses enfants et – plus encore – avec son mari, furieux à l’idée que sa femme travaille un jour supplémentaire.
    
    Le lundi matin, le mauvais temps s’était évanoui et un franc soleil régnait sur Quimper. Il faisait doux. Corinne arriva à l’agence à huit heures moins le quart, monta à son bureau et attendit. À huit heures pile elle reçut – enfin – l’appel tant désiré.
    
    — Agence immobilière du F***, bonjour.
    — Corinne ?
    — C’est elle-même.
    — Parfait. Bonjour Corinne, je suis l’épouse de votre directeur. Nous nous sommes vues une ou deux fois, je crois ?
    
    Corinne, surprise, ne comprit pas cette distance. Son ton se fit plus chaleureux.
    
    — Oui, effectivement. La dernière fois, l’avion de votre mari avait du retard…
    — Oui, c’est cela… Il vous a expliqué ce que j’attendais de vous ?
    — Oui, bredouilla Corinne, surprise de la distance affichée par son interlocutrice, vous souhaitez que je vous aide pour emménager l’appartement témoin de la nouvelle résidence…
    — Pas exactement. Tous les meubles sont bien évidemment arrivés et placés et nous avons pratiquement terminé, avec ma décoratrice, de donner aux lieux un aspect habité. Je ...
    ... voudrais avoir votre avis pour savoir si vous trouvez le résultat… sexy, si vous voyez ce que je veux dire.
    — Oui, tout à fait, fit Corinne, à la fois contrariée par le ton toujours aussi peu chaleureux de son interlocutrice et émoustillée par le vocabulaire employé.
    — Ah, j’allais oublier. Il y aura peut-être quelques petits meubles à déplacer…
    — J’ai prévu cela, Madame. J’ai pris un vieux short et un débardeur.
    — Vous pensez à tout. Je suis là dans dix minutes-un quart d’heure. Attendez-moi en bas.
    — À tout de suite…
    — Je vous préparerai un café… amélioré, fit Sylvie Le G***, d’un ton soudain devenu suave… Tout est clair ?
    — Oui.
    
    Corinne raccrocha et respira fort. Elle considéra sa tenue, et si elle se trouva plutôt sexy, elle se dit qu’elle n’était pas du tout adaptée à un quelconque travail manuel : ensemble de jean – longue jupe et veste brodée – sur un chemisier blanc sobrement décolleté mais joliment transparent avec des escarpins à hauts talons. Glissant une main dans son corsage et à l’intérieur de son soutien-gorge, elle toucha l’une après l’autre les pointes de ses seins subitement dressées. Relevant sa jupe de sa main libre, elle effleura ses cuisses à la lisière de ses bas. Elle se sentait vraiment excitée, mais résista à la tentation de se caresser. Elle se demandait comment Sylvie réagirait à la découverte de ses dessous : elle se savait particulièrement désirable en bas et porte-jarretelles ! Elle sortit un miroir de son tiroir et vérifia sa coiffure et son ...
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