1. Logement provisoire : Sylvie (6)


    Datte: 22/02/2021, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    ... faisais cette semaine. Je n’avais pas fait l’amour comme ça depuis des années et certainement pas avec mon mari. Si je pars maintenant, j’effacerai ton numéro, je ne te reverrai jamais et je garderai un souvenir merveilleux de cette soirée.
    
    — Et si tu restes ?
    
    — Si je reste ? J’ai peur de prendre goût à l’amour avec toi ; j’ai peur de désirer ardemment d’autres soirées telles que celle-ci ; j’ai peur de ressentir le manque de tes mains sur mon corps ; j’ai peur de te vouloir de plus en plus souvent ; j’ai peur d’en découvrir encore plus sur les sentiments que j’éprouve pour toi et d’avoir mal. Très mal.
    
    Vous ne pouvez rien répondre à cette déclaration sur le moment. Sylvie a les larmes aux yeux. Vous vous lancez :
    
    — Si tu t’en vas, je respecterai ta décision et j’effacerai moi aussi ton numéro. Si tu restes...
    
    Elle vous coupe et poursuit elle-même votre phrase.
    
    — Si je reste, nous allons refaire l’amour, encore et encore. Cela va être merveilleux, sensationnel. Je vais jouir comme une folle, tout le week-end. On va faire l’amour dans ce lit, sur ce balcon. On va baiser sur un coin de table, en pleine nature, dans un lieu public et je sais ce qu’il va se passer en moi : l’espace d’un week-end, je vais redevenir la fille que j’étais à 19-20 ans, insouciante, hédoniste, jouisseuse et libertine. Comme à cette époque, je vais avoir envie de baiser tout le temps, partout, et je n’ai aucun doute sur le fait que tu me suivras dans mes désirs et que tu me ...
    ... combleras.
    
    Elle vous regarde, les yeux embués, vous tentez un sourire. Flop.
    
    — Je vais être gourmande, je vais avoir envie de t’avaler ; provocatrice, je vais vouloir que tu jouisses sur moi, que tu souilles mon visage de sperme ; allumeuse, je vais me vêtir à la limite de l’indécence. Durant le week-end, tu vas me prendre tantôt pour une nympho, tantôt pour une pute. Tu vas adorer ça. Et moi aussi. Et je vais en vouloir plus. Je vais avoir envie que tu m’encules. Et ça, il ne faut pas.
    
    Vous la regardez sans comprendre. Évoque-t-elle la taille de votre bite ? Vous ne dites rien. Elle baisse les yeux.
    
    — Il ne faut pas pour deux raisons : si je reprends la sodomie, je ne pourrais plus m’en passer. Et si ça arrive, je devrais me faire réopérer et je ne veux pas souffrir à nouveau comme il y a dix ans.
    
    Vous ne comprenez rien. Sylvie vous regarde à nouveau.
    
    — J’ai commencé à avoir des relations anales à partir de 18 ans et très vite, j’ai eu des orgasmes fantastiques. Au delà de tout ce que tu peux imaginer, je t’assure. La sodo, c’est devenu ma drogue. Tant avec mes partenaires officiels qu’avec ceux de passage. J’avais alors deux très bons sexfriends, plutôt bien montés, avec qui je pratiquais la double pénétration anale. J’en raffolais. Il est aussi arrivé qu’on tente la triple avec un de leurs potes. Et c’était rentré. J’utilisais presque quotidiennement des plugs anaux, pour aller en cours puis, plus tard, pour aller travailler. Quand j’étais seule, je me masturbais ...