Week-end en Suisse - Histoires de Sexe

Week-end en Suisse

... durcissait le long de sa jupe. Mathias tenait à pleines mains les fesses rebondies de la bourgeoise. Elle le fixa.

— Allez, baise-moi, là maintenant !

Mathias la retourna près de la porte du 412. Il remonta sa jupe sur son dos, découvrant ses bas, ses fesses accueillantes, prit son sexe et le glissa dans la chatte ouverte de la belle nympho qui écarta instinctivement les jambes.

— T’aimes ça hein ? Te faire baiser là, n’importe où comme ça.

Mathias sortait de ses gonds, aucune femme ne l’avait autant mis en transe.

— Oh oui vas-y, enfonce-toi bien, baise-moi fort là, je le veux !

Ils en étaient là, de leur conversation lorsqu’une dame, d’un certain âge, outrageusement maquillée, bijoutée et enchapeautée sortit de l’ascenseur. Interloquée, elle contemplait la scène.

— Mais jeunes gens que faites-vous ? dit-elle enfin en tapotant l’épaule de Mathias du bout de son parapluie Hermès.
— Ça se voit pas Maman ? Je répète l’Ave Maria pour la messe de dimanche !
— Oh mécréant !

Rosemonde, car ses parents l’avaient prénommée ainsi, assena un coup de parapluie somme toute assez violent sur les fesses de Mathias.

— Ça va pas non ? En plus, j’allais faire jouir Madame, c’est très impoli ce que vous venez de faire !

Avoir fait preuve d’un tel manque de savoir-vivre, ombragea Rosemonde, surtout dans un tel moment. Elle s’adressa à Sylvie par-dessus l’épaule de Mathias.

— Je suis sincèrement désolée Mademoiselle, je m’enfuis, je me fais toute ...

... petite.

Mathias, à peine déconcentré, continuait de pilonner sa compagne sans se préoccuper de l’intruse. Sylvie, toujours appuyée contre le mur hurla :

— Oh c’est pas grave, ouiii je vais jouiir vas-y baise-moi bien ; ouiii !!!

Elle s’effondra. Mathias se retira, et se tourna vers Rosemonde qui, finalement, n’avait rien manqué du spectacle.

— Rangez cela enfin ! fit-elle.

Mathias remisa son sexe encore tendu dans son slip. La vieille s’en fut, digne. Elle avait déjà le dos tourné lorsqu’ils l’entendirent une dernière fois :

— Vous êtes un mécréant, mais, bravo quand même. Et bonne journée Mademoiselle !
— Merci !

Sylvie fit descendre sa jupe et toisa Mathias :

— Dis donc l’homme de Rio, ce n’est pas le tout, mais j’ai faim moi !

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Ils firent monter un repas dans la chambre. Tout en déjeunant, Mathias exposa son plan à sa maîtresse qui se montra ravie à l’idée d’y participer. D’autant que si tout fonctionnait bien, 100.000 francs suisses pouvaient tomber dans l’escarcelle. Elle tailla ensuite une pipe mémorable à son amant, durant un temps infini. Mathias ne se lassait pas de voir les lèvres pulpeuses de Sylvie pomper son membre. Elle s’amusait à changer de rythme, à l’embrasser, le lécher, puis à le sucer à nouveau, très vite puis plus lentement pour retarder l’éjaculation tant désirée. Il lâcha enfin une énorme bordée de sperme sur le visage de la bourgeoise, qui fut couverte du menton aux ...