Week-end en Suisse - Histoires de Sexe

Week-end en Suisse

... Sylvie.
— Alors, j’ai trouvé l’angle parfait, vous avez des jambes superbes, madame, merci.

La politesse suisse, ce n’était pas une légende. Sylvie continua à exciter le membre helvétique en remontant encore sa jupe, découvrant la limite de ses Dim-up noirs. Elle les décroisa enfin, écartant les cuisses. Sa chatte était maintenant parfaitement visible pour le chauffeur. Au premier feu rouge, celui-ci n’y tint plus, il se retourna.

— J’en profite un peu pendant l’arrêt, dit-il.
— Vous avez bien raison, c’est fait pour ça, rigola la Française, on n’est jamais trop prudent.

Vert.

Cela grimpait effectivement très dur. La route avait été, à peine, dégagée de la neige, qui de plus, n’arrêtait pas de tomber. Samuel, c’était son nom, conduisait prudemment, d’autant plus qu’il continuait à jeter des coups d’œil furtifs vers la banquette arrière. Il bandait comme un cerf.

— Cela vous dérange si je me gare cinq minutes, c’est épuisant cette neige, je n’arrive plus à me concentrer. Bien sûr, j’arrêterai le compteur, madame.

Sylvie regarda sa montre.

— On est encore loin ?
— Oh non, on en aura encore pour une petite demi-heure tout au plus.

Midi et demi. Elle avait rendez-vous dans une heure.

— Allez-y, arrêtez-vous.

Il chercha un endroit sans trop de neige, une aire de service lui offrit une possibilité, il se rangea et coupa le moteur. Samuel sortit et se détendit, il avait vraiment mal au sexe. Cette bourgeoise française lui avait fait gonfler les ...

... testicules au-delà du raisonnable. Il la regardait à travers la vitre. Sylvie s’extirpa de la merco à son tour. Sans mot dire, elle ôta son manteau. Sa jupe était vraiment courte. Elle s’accroupit, releva sa mini-jupe sur son ventre et un jet d’urine perça la couche de neige. Elle pissait devant lui.

« Quelle incroyable cochonne » se dit Samuel.

— Allez, vas-y, fais-toi plaisir, tu ne vas pas rester planté là comme ça ! lança la blonde. Samuel ouvrit son pantalon, prit son dard en main et commença à se branler langoureusement en regardant la bourgeoise uriner devant lui.
— Oh putain, c’est bon, t’es belle ma salope, vas-y pisse, hum t’es une salope toi hein ?

Sylvie rit.

— C’est bon hein ?

Elle avait terminé, mais resta en position.

— Hummm cochonne, t’as des gros nichons, je suis sûr hein, des grosses loches hein ?

Elle releva son pull moulant et découvrit ses énormes mamelles, libres de tout soutien-gorge.

— Oh la vache ! Tes nibards, tes jambes de rêves là et tes bottes de pute, j’en peux plus je vais gicler ma garce.

Tout cela dit avec un accent traînant, Sylvie devait étouffer son envie de rire pour ne pas faire débander son nouvel ami.

— Tu ne vas pas gâcher ça dans la neige, blanc sur blanc, ça ne donnera rien, viens un peu par là.

Samuel s’approcha en continuant de se masturber. Il posa sa queue sur le visage de Sylvie. Elle la lécha de bas en haut, embrassa le vit raide mais court du jeune chauffeur. Elle n’eut aucun mal à le prendre ...