Week-end en Suisse - Histoires de Sexe

Week-end en Suisse

... connut rapidement un petit succès.

— Oh la la, tu suces comme une reine, ça faisait si longtemps qu’on ne m’avait pas fait ça, suce-moi bien belle salope, vas-y !

Elle n’eut guère besoin d’employer plus longtemps ses talents. Dans un râle de bête en rut, Alfred lui emplit la bouche d’un sperme épais et chaud. Sylvie l’engloutit sans déplaisir.

— Je suis désolé, c’était trop bon ! S’excusa la boule, je vais me faire pardonner !

Alfred s’agenouilla. Il écarta les genoux de Sylvie et remonta encore la mini-jupe. Glissa sa tête entre les cuisses, léchant au passage les bas noirs qui l’excitaient tant. Puis il engouffra sa langue entre les lèvres humides et de la belle chatte qui s’offrait à lui.

— Hummm ouiii, fouille-moi bien, mon gros nounours, vas-y !

Sylvie sentit qu’elle avait affaire à un homme d’expérience. C’est qu’Alfred adorait le broute minou, il en avait fait sa spécialité, prenant toujours en considération les conseils des dames qu’il avait visitées, afin d’améliorer constamment ses performances linguales. Sylvie enserra son lécheur entre ses jambes bottées. Elle était déjà au bord de la jouissance.

— Alfred, mais que faites-vous mon ami ?

Jocelyne, accompagnée de Mathias, était réapparue au pied de l’escalier.

— Je me régale ma douce, je me régale, répondit tant bien que mal son mari, étouffé mais heureux.
— Quelle chance vous avez d’avoir une telle langue à votre disposition Madame, hummm, lança Sylvie.

Elle imprimait le rythme en ...

... tenant fermement la tête d’Alfred entre ses cuisses.

— Léonard ! Héla Alfred, en reprenant de l’air, nous achetons !
— Mais, mon pauvre ami, vous délirez ! se rebella Jocelyne.
— Je garde aussi le canapé, en souvenir de cette chatte brûlante ! ordonna Alfred, le visage dégoulinant de cyprine
— Oh oui mon gros bébé, tu vas tout garder ! Vas-y, bouffe-moi, je vais jouir !

Sylvie fit replonger la tête d’Alfred dans son puits d’amour.

— Eh bien je crois que l’affaire est conclue, murmura Mathias à l’oreille de l’épouse.
— Comme ça, parce que, Môssieur, bouffe la chatte de votre secrétaire !
— Et si cela avait été le contraire ?

Mathias prit la main de Jocelyne et la porta à son sexe, enflé par la vision de sa maîtresse, cuisse ouverte sur le divan !

— Mon Dieu, murmura-t-elle, c’est à vous ça ?
— Non, c’est celle de mon petit frère, il me l’a prêtée pour le week-end. La mienne n’est transportable que par camion !

Mathias offrit un clin d’œil ravageur à Jocelyne qui descendit d’un étage pour constater la chose au plus près. Elle avala le membre extirpé de son slip sans hésiter sur la marche à suivre.

— Holà, Djosse, on dirait que t’es branchée sur le 220 ma grande ! ironisa Mathias
— Hummpff slurp, Monchieur Michalon, comme fou chi allez !

Sylvie émit soudain un cri venu d’ailleurs, Alfred était parvenu à ses fins. Il était temps de boucler l’affaire.

— Léonard, ne m’en veuillez pas si je remets cette mallette à Mademoiselle, mais je n’avais jamais ...