Week-end en Suisse - Histoires de Sexe

Week-end en Suisse

... pièces, ou encore les matériaux utilisés pour sa construction. Sylvie écarquillait les yeux, elle aurait bien voulu être la cliente de Mathias.

— Vous ne m’aviez pas menti Léonard, s’extasia Alfred.

Jocelyne, elle, ne pipait mot.

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— Alors Alfred vous me le prenez, n’est-ce pas ? lança Mathias. Une affaire pareille, ça ne se rate pas ! Les vendeurs ont mis le prix au plancher, c’est maintenant ou jamais !

Le Luxembourgeois n’avait cessé de se montrer élogieux. Pour le chalet, mais aussi pour Sylvie, dont il avait maté les cuisses à l’envi durant toute la visite.

— Je pense que oui, j’ai d’ailleurs apporté ce que vous m’avez…
— Alfred ! J’ai peut-être mon mot à dire dans cette histoire, voulez-vous ?

Jocelyne ne s’en laissait pas conter. Elle n’avait aucunement l’intention de lâcher 100.000 francs en liquide dans la nature sur un coup de tête de son mari.

Mathias se retourna vers elle.

— Je vous propose de refaire la visite, dans les moindres détails, nous prendrons le temps qu’il faudra, simplement vous et moi ! Est-ce que cela vous convient ?
— Eh bien euh, oui allons-y, j’attends vos arguments, fit timidement la femme.

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Alfred s’installa dans le canapé en cuir blanc aux côtés de Sylvie.

— On s’y verrait bien, n’est-ce pas ? attaqua, pensive, la blonde

Le culbuto se serait surtout bien vu entre les cuisses ...

... satinées de la belle bourgeoise.

— Je ne savais pas que M. Michalon avait une aussi belle collaboratrice !
— Merci c’est gentil, murmura Sylvie en lançant une oeillade de feu à son compagnon de canapé.
— Si j’osais, je…

Alfred n’y tenait plus, il porta sa main sur la cuisse de Sylvie. Le contact de sa paume avec le bas noir le fit frémir des pieds à la tête.

— Osez, osez, cher Alfred, on a qu’une vie, n’est-ce pas !
— Oh ouii !

Bibendum s’enhardit. Il remonta sa main pour atteindre les nichons de la belle, attaquant un pelotage en règle. Il ressemblait à un petit garçon auquel on vient d’offrir son plus beau jouet.

— Mon dieu ce que vous êtes bandante ! Si je peux me permettre bien sûr !

Alfred replongea la main entre les cuisses de Sylvie, remonta sous la mini-jupe et découvrit l’impensable pour lui, sa chatte dorée libre de tout superflu.

— Oh !
— Eh oui ! répliqua simplement Sylvie.

Les doigts d’Alfred commencèrent à se perdre dans l’antre doux et chaud, bientôt humide, de la blonde qui gémit doucement. Elle releva son pull, libérant ses seins tendus. Alfred se pencha et en suça les larges aréoles. Un vrai bébé.

— Oh putain, c’est beau, c’est beau, t’es bonne ma grande !

Elle extirpa la bite du client et débuta une branlette en règle, histoire de faire grossir le membre déjà dur mais d’une taille vraiment limite. En tout cas, pour une adoratrice du sexe comme elle. Sylvie se libéra des mains d’Alfred, et entreprit d’œuvrer avec la bouche. Elle ...