Annie, nympho et je ne me soigne pas. (8) - Histoires de Sexe

Annie, nympho et je ne me soigne pas. (8)

... grosses fesses, pas de dessous et mes cheveux sont libres. Evelyne s’ennuie. Je lui demande si elle veut bien m’expliquer le fonctionnement du lave-vaisselle.

On débarrasse ensemble.

— Evelyne, vous faites quoi comme métier ?

— J’étais secrétaire militaire, dit-elle en se penchant en avant pour ranger les assiettes.

— Waouh, la vue ! Vous avez une poitrine magnifique !

— A quoi ça sert, mon mari ne les regarde plus, me répond-elle en devenant cramoisie.

— Evidemment, vous ne les mettez pas en valeur. Venez !

Je l’entraîne dans ma chambre et en sors un marcel et une jupe en jean s’arrêtant à mi-cuisse. Je la force un peu à se changer. Elle déboutonne son chemisier lentement et le retire. Je pouffe de rire en voyant son soutif. Elle rougit. Je demande de le retirer. Elle se met de dos et l’enlève. Je la retourne fermement, mais sans brutalité. Je vois deux énormes seins, les tétons dardés. Je les palpe, les léchouille. Elle a fermé les yeux. Je dégrafe sa jupe trop stricte qui tombe au sol. Sa culotte suit le même chemin. Elle a une touffe fournie.

— Ouais, je vois. Un petit passage par la salle de bain s’impose.

Je vais prévenir les trois autres que l’on a eu un accident avec le plat de lasagnes, qu’on ne sera pas longue. Je rejoins Evelyne qui m’attend dans ma salle de bain, je vous la décrirai plus tard. Je lui demande de s’asseoir sur le tabouret et d’écarter les jambes. Je vais passer la tonte et le rasage. Je lui ai laissé un petit triangle de ...

... poils coupés très court.

Je touche sa chatte, elle luit de bonheur. Je lui fais passer le tee-shirt et la jupe. Elle est à croquer.

On retrouve nos convives. Francis, qui est à blaguer avec Olivier, ne remarque pas le changement de tenue de sa femme. Hellène me sourit et me fait un petit clin d’œil. Quand Francis se retourne, il reste bouche bée.

— Mais... Evelyne, que...

— Désolé, mais je n’ai que ça à lui passer. Les jupes de mémère, je n’ai pas.

Elle se lève et s’assoit sur les genoux de son mari. Elle l’embrasse amoureusement. Il lui caresse les cuisses, la jupe ayant remonté.

— Mais tu es nue sous tes vêtements ?

— Oui, et ce sera désormais la norme. J’ai envie de devenir ta salope.

Ils se gamellent de plus belle. Elle rentre sa main dans son short et en sort une bite de taille qui est, ma foi, de taille fort respectable. Hellène, qui n’a rien perdu de ce qui se passe et son temps masturbe mon chéri qui s’est mis à poil. Tant qu’à faire, on le suit.

— Si je comprends bien, dit Francis, il faut que je suive la mode ?

Il enlève son tee-shirt et sa femme son short. Elle se met nue.

— Demain, esthéticienne pour tous les deux. Rasés comme Olivier.

Il regarde le corps totalement glabre de ma grenouille. Il n’a pas encore vu son lance-roquettes. Il me regarde avec envie, quant à sa femme, elle s’est mise en position de levrette, et se dandine du cul. Il faut le mettre en forme, le lubrifier, et devinez qui se dévoue. Héhéhé, c’est moi. Je gobe ...