Annie, nympho et je ne me soigne pas. (8) - Histoires de Sexe

Annie, nympho et je ne me soigne pas. (8)

J’étale nos serviettes pour ne pas saloper ma moquette. Je m’assois en tailleur, Estelle me rejoint dans la même position. Quant à Hellène et Eric, ils sont assis face à face, les jambes d’Hellène par-dessus celles de son partenaire. Elle caresse sa bite, l’effleure, devrais-je dire.

— Elle est belle ta copine, me dit Estelle qui me titille les tétons.

— Oui, très.

Elle s’approche de moi, change de position, collant sa chatte sur la mienne et m’embrasse. Sa langue est douce et agile. Elle s’enroule (sa langue) autour de la mienne, elle est fine et longue. Elle arrive à caresser mon palais. J’en tremblote. Elle me regarde intensément. Elle me caresse le dos, descend sur mes fesses.

— Tu les aimes, mes fesses.

— J’aime tout ton corps, tes rondeurs sont appétissantes, on a envie de te mordre, te manger. Laisse-moi faire.

Elle me pousse et me met sur le ventre. Elle sort de son sac de plage un flacon d’huile de massage. Elle m’en oint le dos. Ses mains partent à l’assaut de mon corps. Ses mains sont à l’image de sa langue. Douce et fine avec de longs doigts. Je me surpris à relever mon bassin et me mettre en position de levrette, bien en appuis sur mes coudes. Ainsi, elle a accès à la totalité de mon corps.

— Tu es belle, très désirable. Tu as un copain ?

— Oui.

— Il est bon au lit.

— Oui, très...Je l’initie.

— Hummm.

Elle s’allonge sur mon dos et passe ses mains sur mon ventre, remonte sur mes grosses mamelles. Elle pince mes tétons. Je ...

... souffle. Je la regarde et je me pince les lèvres.

Elle vide la bouteille et elle se frotte à moi. On est toutes les deux glissantes. Elle frotte sa cuisse sur ma chatte baveuse. Elle simule un accouplement. Je bascule sur le dos. Je l’attire à moi et je me mets à l’embrasser, lui manger la bouche et la langue à en perdre haleine. Je sens sa main sur mon sexe. Délicatement, elle enlève ses bagues de son autre main avec sa bouche et les recrache sur la couverture. Elle descend lentement jusqu’à se retrouver accroupie entre mes cuisses. Délicatement, délicieusement, elle m’introduit trois doigts dans mon vagin tout en me branlant avec son autre main, mon clitoris. Je ne ferme pas les yeux, elle non plus; elle scrute mes réactions. Elle m’investit de quatre doigts, je sens ma jouissance monter. Elle est très douée pour une petite jeune de vingt ans à peine.

Hellène est à quatre pattes en train de se faire ramoner par Eric qui la prend sans ménagement à la hussarde. Elle hurle à rameuter tout le quartier. Ses cheveux noirs sont collés sur son visage.

Evelyne fait des va-et-vient de plus en plus rapides. Je souffle comme une vieille locomotive. Je n’en peux plus de jouir, mais mon bassin va à la rencontre de son poing. Oui, elle a rentré son poing et me fouaille mon vagin. Elle tient son avant-bras.

— ARGH, PUTAIN...OUIIIII.

Je me cambre et retombe sur mes fesses dans un bruit sourd, mais elle continue; elle m’éclate la chatte. Je jouis sans discontinuer, Hellène aussi, si ...