Annie, nympho et je ne me soigne pas. (8)
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... j’en crois mes oreilles.
— PUTAIN, PUTAIN... OUIIIIIIII.
Elle retire sa main qu’elle m’offre à lécher. Je reprends mon souffle et mes esprits. Elle vient partager mon jus.
Hellène s’est tournée, et je peux voir le mandrin d’Eric rentrer et sortir de son cul. Elle se fait enculer, elle a l’air d’apprécier. Son enculeur aussi, puisqu’il lui décharge une quantité plus que raisonnable de sperme dans son fondement qui déborde. Dès qu’Eric se retire, Estelle va ramasser, aspirer le mélange qui est éjecté par l’anus dilaté de mon amie.
Estelle, en bonne amante, partage avec moi dans un baiser. J’adore !
On est tous les quatre allongés à se lutiner, caresser le corps le plus proche. J’ai faim et le fais savoir. On rigole tous. Je ramasse les serviettes, ouf ! Aucune tâche. On mange avec bonheur. Ils nous avouent qu’ils sont cousin-cousine par alliance, pas d’inceste, et ce qui explique leur petite différence d’âge. Dix ans tout de même, un peu comme ma grenouille et moi. Elle continue les confidences. Il l’a dépucelée il y a deux ans, le soir de ses 18 ans, et depuis, il ne se quitte plus, il est mon bon professeur.
On boit un rosé qu’il avait apporté sur la plage. La fin du repas est clôturée par des au revoir amicaux. Hellène rejoint ses pénates en se tenant les fesses.
— Putain, une bonne sodomie, un petit repas entre amis et une bonne sieste, il n’y a rien de tel.
Elle me fait rire. Evidemment, elle redescend chez elle nue. Je vais dans ma chambre, ...
... m’allonge et m’endors comme une masse.
Je suis réveillée par le bruit de la douche. Je me lève en pensant retrouver mon amour, mais c’est Hellène que je trouve sous le jet.
— Hellène ?
Elle sursaute.
— Mon ballon m’a lâché, je suis redescendue et j’ai trouvé la porte ouverte. Je n’ai pas voulu te réveiller, tu dormais si bien.
— T’as bien fait, lui dis-je en me faisant une place, on se savonne ?
La douche, que l’on prend à deux, est remplie de douceur et de complicité. Je lui avoue mon achat d’un gode-ceinture et l’envie de l’utiliser avec ma grenouille. Il faut que je lui montre. Une fois, toutes les deux sèches, on entre dans ma chambre, et prends le coffret que j’avais glissé sous le lit.
— Putain, la vache. Combien as-tu payé ?
— 65.
— Ça va, ça reste raisonnable. Et quand vas-tu l’essayer ?
— Ce week-end.
— Tu l’as réglé ? Evidemment non. Je vais le faire, si tu permets.
Elle prend la ceinture, la déroule et la pose sur moi. Elle ajuste le plastron qui recevra les godes. D’ailleurs, elle prend le plus gros et le visse. Le poids est conséquent. Elle fignole les ajustements.
— Ça me gêne. Ça m’irrite le clito !
— Pardon ma puce, mais il fallait l’ajuster au plus près de ta chatounette. Attends !
Elle enlève la ceinture et place un petit gode à l’intérieur et me la replace.
— Ça va mieux ?
Je réponds d’un "oui" timide. Elle prend le gode en bouche, le recrache aussitôt.
— Dégueulasse. Viens, on va les laver.
Une fois tous ...