Annie, nympho et je ne me soigne pas. (8) - Histoires de Sexe

Annie, nympho et je ne me soigne pas. (8)

... propres, on part les ranger, je garde ma ceinture qui est équipée. Machinalement, je me branle. Machinalement, Hellène, s’accroupit et me suce cette queue en silicone.

— Hum, t’aimes ma queue, vieille cochonne.

— Slurp, slurp. Oui. Maîtresse.

Je suis morte de rire et je me prends au jeu. Mon bassin s’active d’avant en arrière. Je lui baise la bouche. Elle bave et cela lui coule sur les seins. Le petit phallus en plastique fait son effet, je mouille. Une chaleur me monte du ventre jusqu’aux racines de mes cheveux. Je force sa bouche pour la prendre à fond. Elle s’arrête.

— A...Alors ?

— Magique, dis-je en tombant à genoux. Je l’embrasse.

J’enlève mon attirail. Hellène a soif. Je l’aide à se relever et l’on se dirige vers mon frigo. Je prends deux bières et nous partons nous installer sur les bains de soleil. On est bien.

19 h 00, Olivier rentre de sa "réunion". Il part à la douche directement. Quand il revient, une bière à la main. Il nous annonce qu’il a une bonne nouvelle. Il nous invite à le rejoindre à table.

— Notre vie va changer, nous annonce-t-il, Annie et moi, on déménage !

— Quoi ? fis-je, étonnée.

— On ne va pas loin, l’appart d’à côté, il est libre depuis trois mois et mon directeur veut qu’il soit occupé. Je lui ai demandé les conditions d’obtention de ce spacieux F5. Il m’a juste répondu si j’étais en couple...Hihihi. Il me l’a attribué. Super ! Non ?

Je reste sans voix. Non pas que d’habiter un logement plus grand me dérange, ...

... mais vivre en couple ! Il me rassure, il gardera sa loge. Il nous emmène visiter, il a déjà les clés.

La porte d’accès est blindée, il ouvre.

— WAOUHHHH ! est le seul mot qui arrive à sortir de ma bouche.

Il est lui-même impressionné. Tout a été refusé à neuf. Le grand salon, l’immense salle à manger, la cuisine américaine sont neufs. Même le couloir, les trois chambres sentent le neuf. Je suis impressionnée et lui saute au cou.

— Ça te plaît ?

Je fais ma gamine et lui dis que je veux mon auvent. Il me dit que c’est prévu, que Francis viendra l’aider demain. Il a tout arrangé. Je lui saute au cou.

— Merci...Chérie.

Le lendemain soir, on a tout déménagé. Il faut dire qu’avec le peu de meubles que j’ai, cela a été vite fait. Ils ont replacé la moquette, mon auvent, et mis le salon d’extérieur. On a invité Francis et son épouse à dîner, c’est la moindre des choses. Evidemment, nous nous sommes habillés. La femme de Francis fait la gueule comme à son habitude à chaque fois qu’elle n’est pas chez elle. Pourtant, c’est encore une belle femme. 55 ans, de beaux yeux noisette, 1m75, de beaux cheveux auburn, 70 kilos, je dirais, et une poitrine plus imposante que la mienne.

Le pastis et le Martini coulent à flots. Mes lasagnes gratinent dans mon nouveau four de ma nouvelle cuisine équipée.

On passe à table. Francis n’arrête pas de me reluquer. Il faut dire que ma tenue s’y prête. Tee-shirt de type marcel rose, short minimaliste en jean qui laisse apparaître mes ...