1. Mais non, René, tu déconnes !


    Datte: 13/02/2021, Catégories: fh, extracon, voiture, pénétratio, fsodo, Humour Auteur: Sippox, Source: Revebebe

    ... étoilé qui accueille ma turgescence, non sans mal, il est vrai, au vu de sa plainte douloureuse masquée d’une toux qui n’en finit pas. Je suis rentré d’une traite, mais la p’tiote a cessé tout mouvement. J’en profite pour taquiner un peu son cornichon, histoire de faire passer le suppo. Elle ne bronche pas pour facilement deux minutes. Je pensais qu’elle se serait relevée, mais non ! Elle entame un doux va-et-vient sur ma hampe et continue comme si de rien n’était à papoter avec Tatie. Moi, je sens peu à peu ma lave sourdre dans ma hampe et, de ma main libre, je me saisis d’un de ses petits seins, tout en augmentant mes pressions sur son clitoris.
    
    Elle se met alors à pousser un petit hululement qui fait freiner sa tante et qui me fait réfréner mes effusions. À la demande de sa tante, elle répond, un peu essoufflée, qu’elle a cru voir un chien traverser, mais que tout va bien ; cela tout en repoussant ma main de son clitoris et en bloquant mes pincements sur ses tétons. Ma femme a ces gestes quand elle a joui et je devine que son hululement est lié à cet état de fait.
    
    Me croyant quitte pour ma propre jouissance, je sens la miss se relever, mais aussi ...
    ... prendre ma queue entre ses doigts et la guider dans son vagin. Et là, durant les vingt minutes qui restent jusqu’à chez moi, la coquine se permet une chevauchée fantastique se trahissant parfois par une voix un peu trop aiguë dans ses réponses à Tatie. Je ne sais comment elle me tient aussi longtemps au bord de l’explosion, mais à trente mètres de chez moi, je dois tousser pour masquer mon grognement de plaisir et l’explosion de ma jouissance.
    
    Lorsque la voiture s’arrête, je reprends mon souffle et elle se retourne, feignant de me réveiller. Profitant de ce que sa tante sort, elle me libère et, sous ses jupes, j’en profite pour remettre popaul à la maison. Je sors après elle, je salue la Tatie et la nièce en disant de remercier le René de ma part, et je retourne vers chez moi en remarquant que l’avant de mon pantalon est marqué d’une énorme tache comme si je m’étais pissé dessus…
    
    Espérons que madame dorme, sinon ça va être ma fête. Je pourrais toujours prétexter que je me suis pissé dessus à cause de l’alcool en espérant qu’elle ne se sente pas d’humeur câline ce soir… Quoique… je bande déjà à demi ! Peut-être la réveiller, tiens… Putain ! René, tu déconnes… 
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