Mais non, René, tu déconnes !
Datte: 13/02/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
voiture,
pénétratio,
fsodo,
Humour
Auteur: Sippox, Source: Revebebe
... je bois un coup, je ronfle comme deux camions Diesel mal synchronisés !
On se dirige tant bien que mal vers la Cliomobile et là, y a la nièce au René qui débarque tout embêtée en lui demandant de la ramener car, comme moi, elle avait choisi les transports en commun et qu’à cette heure ce n’est pas sérieux.
Bon seigneur, je propose de rentrer par mes propres moyens, mais ce déconneur de René insiste pour qu’on rentre tous dans sa titine. Après force discussions, surtout de lui, le packaging est fait. Madame au volant, René en copilote, les gamins derrière avec moi et la p’tite sur les genoux d’un des cousins. Enfin, petite est un bien grand mot. Elle a déjà ses 23 balais et présente des formes à faire lever la soutane d’un curé. C’est pas un super canon, mais elle se défend bien et je pense qu’elle ne doit pas souvent dormir seule. Donc, les places sont organisées et tout le monde entre dans la Renémobile.
Avec juste un léger changement : la coquine ne s’assoit en rien sur un de ces cousins, mais surMonsieur Pascal, comme elle dit. Pourquoi Monsieur Pascal ? Ben tout simplement parce que ces petits sauvageons se sont précipités dans la totomobile à 3 portes du René, que Monsieur Pascal a essayé de faire le galant, mais que la douce demoiselle a dit :
— Mais non, entrez donc, je me mettrai sur vos genoux, si ça vous gêne pas bien entendu.
Bien entendu que non, ça ne me gène pas, sauf que pour être à l’aise durant la petite heure de route, ben c’est plus sur mon ...
... mini-moi que sur mes genoux que se pose son charmant postérieur. Un peu anesthésié par ces quelques verres, je me poste contre la vitre et écoute la conversation entre nièce et oncle ou nièce et tante, conversation très excitée de la petite qui n’arrête pas de se trémousser.
Et, bien entendu, ce déconneur de René sombre rapidement dans un sommeil alcoolique, tout comme ses morpions qui, n’ayant pas la dernière console de jeux, se laissent bercer par le bruit de l’automobile et de la conversation entre Tatie et la petite. Je demande à la douce de mon ami si elle sait où me déposer et c’est avec une belle affirmation qu’elle me confirme que je serai ramené à bon port.
La petite se calme un peu et me demande si elle peut s’appuyer un peu plus sur ma personne et, comme tout bon vieux galant, je lui réponds de prendre ses aises, ce qu’elle fait au-delà de mes espérances. En effet, sa robe bohémienne jusque-là très sage dénude soudainement ses jambes qu’elle tient écartées de chaque côté des miennes pour plus de commodité. Enfin, commodité est un bien grand mot, car son accommodation correspond beaucoup plus à un contact plus intime entre mini-moi et son intimité, et elle se penche en avant pour mieux parler à Tatie, non sans auparavant soulever sa jupette pour mieux coller son intimité à la mienne.
Entre la chaleur de son séant sur mon intimité, la délicieuse vue de ses cuisses, qu’elle m’offre dans la semi-pénombre, et l’alcool qui me fait venir des envies libidineuses, ...