1. Mais non, René, tu déconnes !


    Datte: 13/02/2021, Catégories: fh, extracon, voiture, pénétratio, fsodo, Humour Auteur: Sippox, Source: Revebebe

    ... je sens mon membre se raidir et, au vu de mon pantalon de lin, je suis certain que cette ascension n’a pu échapper à la donzelle.
    
    Mes soupçons sont rapidement confirmés lorsque la miss se retourne et me dit à voix basse :
    
    — Je vous sens tout congestionné, Monsieur Pascal, j’espère que ça ira vu les trois quarts d’heure de route qu’il nous reste avant chez vous…
    
    Cette coquine me fait bander et elle le sait. L’unique problème qu’il me reste sont les poils que mon mini-moi a daigné porter dans cette ascension. N’y tenant plus, je me rapproche de son oreille et lui demande si elle aurait l’obligeance de se soulever quelque peu pour que je puisse me mettre à l’aise, ce qu’elle accepte avec bienséance tout en soulevant son séant et en retenant sa jupe, me permettant ainsi, en plus de ses cuisses, d’admirer la blancheur de ses fesses… Je pense que j’ai doublé de volume à ce moment-là et, sous la douleur, j’ai ouvert ma braguette, sorti l’animal pour le soulager de tous ces collets de poils qui continuent à l’étrangler. La demoiselle en équilibre, sous prétexte d’un virage trop brusque, a choisi ce moment pour feindre de retomber, me mettant ainsi le sexe entre ses cuisses et ma main sous le séant, en contact avec son intimité.
    
    Je dois avouer qu’il y a un petit silence entre elle et sa tante à ce moment-là et que ce n’est qu’après trois questionnements de l’aïeule qu’elle daigne répondre, sans pour autant changer de position.
    
    Imaginez bibi, la queue tendue entre les ...
    ... cuisses de la miss avec ses cousins et tonton qui dorment autour, et elle qui continue à parler à Tatie. Et surtout ma main en contact avec son intimité qui ressent qu’elle a dû transpirer quelque peu ce soir ou que la situation ne lui est pas indifférente. Malgré mon anesthésie à l’alcool, je choisis la deuxième hypothèse et je commence à frotter mon pouce contre son intimité. Au vu du taux d’humidité qui augmente sous mon doigt, je devine qu’elle ne transpire pas et qu’elle partage le moment avec délectation et surtout avec moi. Je me fais alors explorateur, tourne un peu ma main, offrant maintenant le contact de ma paume à son séant en poussant mini-moi dans un angle qui est peu commun. J’use alors de mon majeur pour lutiner le vestibule de la demoiselle et à ses mouvements, je sens que ma jouissance cérébrale est partagée par elle physiquement.
    
    Elle mouille de plus en plus alors que moi, bander plus que cela serait un miracle. Depuis près de dix minutes, j’explore du doigt sa paroi vaginale et la coquine se retourne alors et me susurre :
    
    — Ouh là ! Monsieur Pascal ! Vous me mettez dans tous mes états ! Je vous sens congestionné, mettez-vous donc au chaud…
    
    Eh oui ! Je sais, ça n’a pas de bon sens, mais la p’tiote continue à vouvoyer ! Joignant ses dires aux gestes, elle se soulève de nouveau et j’en profite pour diriger mon vit vers son antre au moment où elle se repose. Le seul problème est que, dans la pénombre, au lieu de son petit minou préparé, c’est son anneau ...