1. Patricia ou Rana ou Eloïse


    Datte: 08/02/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... Eloïse succombera un jour ou l’autre comme l’ont fait Rana, Patricia et les autres à l’appel de cette chair hors normes. Alors je pousse Eloïse vers le coin de Mamadou Lenfileur. Qu’il la prenne, qu’il la défonce, qu’il lui fasse connaître l’exaltation des sens dans le franchissement même douloureux de ses ouvertures. Elle saura, elle m’oubliera.
    
    Rana a remonté sa robe, Rana dégage son vagin de la bande de sa culotte, Rana s’accroupit au-dessus du sexe vaillant de Claude. Ses grosses fesses noires descendent, la chose disparaît. Rana s’agite autour de l’axe, Rana se venge des infidélités de Mamadou, Rana se fait du bien à bon marché, Rana se donne, s’emballe, s’essouffle, gémit, Rana crie de bonheur. Rana s’exclame
    
    - Quel bon petit soldat, son engin est moins épais mais je viens de recueillir sa quatrième giclée. C’est formidable. Gaston tirait un coup en vitesse et allait gâter ses salopes. Si tu le libères, je l’embauche en cdd. Tu échangerais contre le mien ? Non, tu ne l’as pas encore touché. T’aimes pas le sexe, tu as peur de te salir les mains ? Allez, vas-y empoigne-le, branle-le vigoureusement, secoue-le. N’aie pas peur, il ne peut pas se sauver… Quoi tu es trop timide. Attends, j’arrive.
    
    Rana quitte l’essieu qui perd son équilibre et se couche sur la cuisse gauche de Claude. Une coulée blanche marque la cuisse noire de Rana. Elle arrive sur Eloïse et lui met en main la perche de Mamadou. Elle ne veut plus de lui, ça ne l’empêche pas de faire l’article ...
    ... :
    
    - Tiens le bien. Tu sens comme il gonfle. Hé ta main lui plaît, il fait des bonds et s’allonge. Avec moi, fais aller et venir ta main. Oui, encore, bravo il est dur comme de la pierre. Enlève ta culotte si tu en as une, grimpe dessus. Ne crains rien, ça entrera. Une occasion pareille ne se trouve pas tous les jours. Passe une jambe au-dessus. Oui, tu vas faire une expérience unique. Non, ne te relève pas, je le tiens, laisse-toi glisser. Le gland t’écrase les lèvres. Ben, il faut mouiller mieux que ça. Encore un effort… Attends je te chatouille le bouton pour te faire juter…
    
    Eloïse est guidée, laisse l’initiative à Rana. Elle fait le yoyo sur le haut de la perche, grimace à chaque millimètre gagné, ferme les yeux pour ne plus rien voir, pour ne plus voir ma déception. Le sort en est jeté, elle a parcouru au moins dix-centimètres, onze, douze grâce à ces montées et descentes. Rana appuie sur ses épaules. Je quitte la chaufferie.
    
    Elle m’appelait mon amour il y a moins d’une heure, elle va jouir avec le gros pieu de Mamadou dans le ventre. J’entends son cri de jouissance. Pouah ! Elle est comme toutes les autres, son vagin va déborder de foutre. Elle y a goûté, elle en voudra encore. Qu’a-t-elle de plus ou de mieux que Patricia finalement ? Du fric sans doute, ça ne la rend pas meilleure, plus estimable. Elle a obéi à son instinct, n’a pas cherché à me tromper et demain elle se livrera devant moi au premier qui éveillera sa curiosité, en croyant bien faire. Patricia au ...
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